Défi du samedi chez Walrus

Défi du samedi no 886

Walrus nous propose de broder autour de cette phrase qui veut dire (Merci Kate)

Je suis seul c'est triste.

............

Voilà c'est arrivé.

Depuis quelques mois je m'y attendais.

La clarté de son être était moins brillant,

Son entrain bien moins présent.

Voilà c'est arrivé, je m'y attendais mais s'attends t on

toujours à l'inévitable ?

Je sais qu'il y a toujours cet espoir qui perdure,

jusqu'au dernier moment, même à la seconde ou l'on se dit;

Voila c'est arrivé, je m'y attendais mais pas vraiment en fait.

La vie, sa vie ne tient qu'à quelques minutes de survie…

Mais je suis là, je reste là. Comme toujours. Elle le sait.

Je la regarde, je ne peux pas parler.

Mais elle a toujours su lire mon regard.

Elle prends ma main. Me souffle son dernier courage.

Pour affronter la vie sans elle.

Elle qui a toujours guider mes pas,

ne les guidera plus jamais.

Voilà c'est arrivé, nous sommes le 6 Janvier 2009,

la vie s'enfuit d'elle, sa main dans la mienne se fait souple,

ses doigts se détachent des miens..

Son dernier regard pour moi est plein de larmes.

Quand la dernière larme coule sur sa joue,

voilà c'est arrivé, elle n'est plus…

C'était le 6 janvier 2009 ;

Sono Solo e Triste...

Mon texte jeu loggorallye 2

Croire, subir, prendre, ragots, sombre, parfois, coupable, compassion, vie.

Plutôt que CROIRE à des jours meilleurs et SUBIR, il faut PRENDRE son courage à deux mains et laisser les RAGOTS se dire sans même y donner quelque attention que ce soit !

Laissons le côté SOMBRE à ces détracteurs qui n'ont d'autres buts

que celui d'exposer des rumeurs pour exister ! Ceux là sont PARFOIS les mêmes qui vous font de grands sourires, qui vous jettent des compliments pour mieux vous enrubanner !

Les COUPABLES ce sont eux ! Les pourvoyeurs du mal, les fossoyeurs du colportage de mensonges, juste pour que l'intérêt se porte sur leur petite personne, si petite qu'ils doivent vous salir, ce sont ceux là qui n'ont aucune COMPASSION pour personne, ceux là qui ont pour seul empathie, leur VIE à eux !

Fuyez les ces toxiques ! Ils ne méritent même pas le regard que vous pourriez porter sur eux.

Je vous le dis, de ceux là, il y en a ! Ecoutez votre petite voix,

 celle qui vous les désigne dans le creux de l'oreille.

 

Chez Miltune. No 149. 6 Images. 6 mots

Chez Milletune

6 images. 6 mots.

Avec quelle FACILITE le photographe a transformé cette photo du Bébé !

Je peux ainsi la mettre dans le beau MEDAILLON pour grand-Mère.

Mais pour le moment je dois préparer mon parapluie car le ciel se couvre de gris sur la colline des arbres d'automne.

Il ne faut pas que j'oublie la vieille CASSETTE de Grand-Père, il y tient plus qu'à ces CELLULES grises a t-il dit en SOURIANT.

Je ne vais pas passer par le petit pont de bois.

Avec toutes ces pluies, je crains pour sa CHARPENTE.

Zut ! J'ai oublié de mettre Sultan dans la cuisine !

Il va me suivre à tombeau OUVERT sinon et comme

 toujours faire son petit fou !

Voilà je suis prête ! J'ai tout !

Je n'ai que quelques mètres à faire pour me rendre 

chez les Grands Parents mais ce que je vois en sortant me sidère et me cloue sur place !

Plus rien n'est comme avant ! La terre n'est plus !

La chaleur à fait fondre toutes les neiges de tous les Kilimandjaro !!!

Tout n'est qu'eau à perte de vue.

Je vois même des hommes grenouilles se balader dans l'eau !

Ils ont l'air bien à l'aise. Chacun sa bouteille d'oxygène .

Mais comment puis je voir tout ça alors que je suis sur le pas de ma porte et les pieds bien sur terre ??

Mes chers amis lecteurs, j'en suis là de ma toute dernière nouvelle

et plus d'inspiration pour la suite mais j'ai utilisé toutes les images et tous les mots 

et s'il vous plaît, en logorallye !

Si vous m'avez lue jusque là, je suis ouverte aux suggestions pour la suite de cette nouvelle !

Défi image 54 chez An'Mai

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Ecoute la Rose

Dans ce mur fendu, je suis née,

Sous le béton, j’ai pu pousser.

Petite fille aux mille couleurs,

Ton regard m’offre du bonheur.

Tu t’étonnes que j’existe ici,

Moi, fragile, au cœur de la vie.

Souviens toi, petite, n'aies pas peur

Je me réveille même dans la douleur.

Et si demain le monde, petite, te blesse,

Garde en toi cette forte et belle promesse,

Comme la rose au milieu du monde bien gris,

Tu vaincras tes peurs, même celles de la nuit.

Texte Loggorallye no 2

 

LOGORRALYE NO 2

Croire, subir, prendre, ragots, sombre, parfois, coupable, compassion, vie.

Plutôt que CROIRE a des jours meilleurs et SUBIR, il faut prendre son courage à deux mains et laisser les RAGOTS se dire sans même y donner quelque attention que ce soit !

Laissons le côté SOMBRE à ces détracteurs qui n'ont d'autres buts

que celui d'exposer des rumeurs pour exister ! Ceux là sont PARFOIS les mêmes qui vous font de grands sourires, qui vous jettent des compliments pour mieux vous enrubanner !

Les coupables ce sont eux ! Les pourvoyeurs du mal, les fossoyeurs du colportage de mensonges, juste pour que l'intérêt se porte sur leur petite personne, si petite qu'ils doivent vous salir, ce sont ceux là qui n'ont aucune COMPASSION pour personne, ceux là qui ont pour seule empathie,

 leur VIE à eux !

Fuyez les ces toxiques ! Ils ne méritent même pas le regard que vous pourriez porter sur eux.

Je vous le dis, de ceux là, il y en a ! Ecoutez votre petite

 voix,

 celle qui vous les désigne dans le creux de l'oreille.

Quand Edouard voyage chez Walrus

Samedi Défi chez Walrus 884

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*********

Quand Edouard voyage.

 Emma venait de recevoir un étrange colis.

Un grand tableau de tulipes aux couleurs chaudes, encadré de bois clair. C’était le legs de sa grand-tante Olga, artiste fantasque et globe-trotteuse. Sur la lettre jointe, il n’y avait qu’une phrase;

""Ce que tu vois n’est que le jardin, mais le trésor sommeille derrière""

Intriguée, Emma accrocha la toile dans sa chambre. Quelques jours plus tard, en observant les pétales rouges et orangés, elle remarqua qu’ils formaient des motifs étranges, presque comme un code, elle déchiffra une suite de chiffres qui se transforma en un texte avec des lettres correspondantes dans l'alphabet à leur numéro.

Ce code, inscrit discrètement au dos de la toile, correspondait à une réponse à l'énigme. Elle comprit alors qu’il fallait retirer le cadre. À l’intérieur, sous la soie peinte de tulipes, se trouvait une autre toile, une œuvre signée Édouard Manet, soigneusement protégée.

Emma avait résolu l’énigme laissée par Olga, un message poétique caché dans le motif floral, qui lui indiquait pourquoi et comment conserver ce secret.

Qui oserait lui voler cette jolie toile de tulipes peinte par sa tante ?

A son tour, elle devra transmettre en héritage les tulipes…

La toile voyage déjà depuis 1883, après que Léon Koella-Leenhoff,

son fils illégitime le légua en héritage à une cousine avec la même énigme...Et ainsi, aujourd'hui la voilà chez Emma...

*Les damnés du Menhir* pour Samedi Défi no 883.

                                                                       samedi défi 883

Chez Walrus

Les damnés du Menhir

Dans la brume d'une région ancienne, un menhir colossal, sculpté d’une mystérieuse roche, se dresse comme le dernier témoin d’un vestige oublié. On raconte que toujours à minuit, l’ombre d’un moine damné apparaît au pied de la pierre, implorant le pardon que les dieux lui refusent depuis des lustres. 

On dit que quiconque ose poser sa main sur la croix ressent et entend le murmure des âmes liées à jamais à la roche.

On dit aussi qu’un soir d’orage, une femme du village, Marianne, au cœur consumé par la passion d’un amour interdit, alla jusqu’au vieux menhir, qu'envahie par le remords, elle posa sa main  sur la pierre, demandant en priant, le pardon que son mari jamais ne lui donnerait.

À l’instant où ses doigts effleurèrent le granit froid, le ciel hurla. Le vent souffla tel un ouragan, et la croix au sommet émit un bruit ancestral de fer. Le sol vibra doucement, puis plus rien. Marianne disparut sans laisser de trace. On ne la revit jamais au village

Depuis, les villageois murmurent qu’à chaque nuit d’orage, une silhouette féminine erre entre les arbres, gémissant dans le vent, condamnée à revivre sa trahison devant l’éternité de la pierre.

Comment oser aller seulement caresser ce menhir sans que des millions de damnés ne disparaissent ?

Chez Samedi défi

Samedi défi 882

Un saut de jeunesse

Un léger bond comme un souffle d’air,

Ses pieds quittent la terre, elle est fière.

Sur la toile bleue, peur de rien, elle s’élance,

Libre et vive, sa jeunesse est comme une danse.

Le vent fait voler ses longs cheveux,

Le monde en bas devient loin, curieux.

Dans un instant en suspension, elle vole,

L’enfance en plein essor, sans boussole.

Au sommet d’un coussin géant,

Elle s’envole, libre, en riant.

Le ciel est bleu et dans son cœur,

C’est un éclat de mille couleurs.

Suspendue entre sol et vent,

Elle défie le temps, l’instant.

Un saut, un rêve, une illusion,

Petite jeunette en ascension.

Chez An'Mai. Thème "Vacances + 4 mots no 1

Chez An'Mai. thème "" Vacances "" + 4 mots Emprisonner, recours, cueillette, semblable

Seconde classe

Chez la famille Smicard, c'est parti pour ""Les vacances "", 

sacs à dos pour seule valise ! C'est le recours au plus urgent !

Point trop n'en faut pour alléger les dos !

La mère se relira ""La comtesse de Ségur "" dans le train.

""Les petites filles modèles ""qui n'en ont que le nom 

se disputent déjà pour la meilleure place dans le train.

Le fils prodigue qui n'a jamais lu ""Les malheurs de Sophie "" 

se plaint d'avoir deux sœurs envahissantes 

et toujours à se lamenter de ceci ou cela et voudrait les emprisonner

parfois pour les faire taire !

Le père Smicard se tourmente de sa condition et rêve

de gagner un jour au loto pour offrir de belles vacances à sa famille.

Mais pour le moment ils vont voyager en seconde classe.

Tous assis, ils attendent ce train qui, 

comme toujours sera semblable aux autres jours et arrivera en retard.

Mais cette année ils sont chanceux, ils ont deux jours de vacances.

Ils vont à la mer et ils dormiront sur la plage !

Et puis deuxième chance pour les Smicard; le train ne fera que deux

arrêts avant leur destination ! C'est pas beau ça !!

Ah les vacances de Smicard c'est pas royal d'accord, mais cela suffit

à leur bonheur..

Ils iront tous à la cueillette des crustacés à marée basse !

Et puis ce qu'ils ne connaissent pas ne peut leur manquer n'est ce pas ?

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 Vous avez l'impression de déjà lu pour celles qui viennent me lire ?? 

Ben vous n'avez pas la berlue !

Comme c'était le même thème (photo) chez La Licorne(Filigrane)

j'ai remanié un peu, ayant eu déjà un peu de mal à le faire, les vacances

ne m'inspirent guère depuis bien longtemps mais que ne ferais je pas pour ma copine !