Sur la mer, au berceau de l'aube dorée,
Un feu timide jaillit, tendrement effleuré.
Le ciel se farde d'un pinceau éclatant,
Effaçant la nuit d'un soupir caressant.
Là où l'onde épouse l'horizon lointain,
Les notes naissent, fragiles, dans un doux écrin.
Un violon invisible, du pont de l'aube aux abîmes
Tisse des accords dans l'air, purs et sublimes.
Chaque rayon danse comme une clé d'or,
Déroulant des arpèges sur l'océan sonore.
Le clapotis des vagues, doux chœur en refrain,
Accompagne les vents, flûtistes du matin.
Les mouettes s'élèvent, solistes légères,
Portant des mélodies entre ciel et mer.
De pont en pont, un écho s'envole,
Un piano céleste joue son rôle.
L'arche du jour s'ouvre en cadence,
Sous cette symphonie pleine de nuances.
Le levier du soleil, partition infinie,
Offre aux âmes ouvertes son harmonie.
Ainsi, sur la mer, à l'aube nouvelle,
Chaque note s'élève comme une étincelle.
Un poème d'air et de lumière en fusion,
Un chant de vie, une douce évasion.
Une partition arc-en-ciel qui t'a très bien inspirée, joli.... amitiés, jill
RépondreSupprimerWaouh ! tu as fait très fort ma Ghyzou, j'aime beaucoup tes vers poétiques que j'aimerais bien avoir écrits. SUBLIME SYMPHONIE !
RépondreSupprimerPS : Soignez-vous bien les amis, je vous entoure d'amour fraternel, de douceur, de protection, je prie pour une rapide guérison et vous ceins d'infinie bienveillance. Nous restons en profond cœur à cœur.
très belle symphonie
RépondreSupprimerBientot la reprise,
j'espère que tu vas bien
bises François