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Vas, vole et vas leur dire
La terre se meurt.
Je suis la dernière main, qui se craquèle de sécheresse.
Vas petit oiseau de couleur,
vas leur dire qu'ils nous ont tués à petits feux,
vas leur dire que notre terre se meurt.
Vas, petit oiseau, vole tant que tu le peux, vas leur dire qu'ils
nous ont faits périr sous le poids de leur avide pouvoir.
Vas petit oiseau de couleur.
Vas et dis leur que je garde l'espoir d'un monde nouveau
dans ma main devenue sable,
Vas....Vole....Vite...
Cette main craquelée par la sécheresse lance un appel vibrant, oiseau fais-toi son messager, avant qu'il ne soit trop tard pour la planète.... amitiés, jill
RépondreSupprimereffectivement tu as mis en scène l'oiseau porteur d'un message de détresse et moi un message de liberté.
RépondreSupprimerles grands esprits se rencontrent.
bonjour un bon samedi et un bon week end bisous
RépondreSupprimeroui, gardons l'espoir!
RépondreSupprimerBelle journée
bises
Heureusement qu'il reste l'oiseau pour donner un peu d'espoir.
RépondreSupprimerBises.
Coucou ma Ghyzou, un rapide passage pour te remercier pour ton texte sur l'image d'An-Maï, des bisous lumineux, je suis toujours en pause mais pense fort à vous.
RépondreSupprimerTon message est très beau ! C'est un cri d'alerte aussi. Merci ma copine. Bisous doux
RépondreSupprimerBonjour Ghislaine,
RépondreSupprimerL'image de la terre qui se meurt à travers cette main craquelée est saisissante. Ton appel à l'oiseau messager est plein d'espoir malgré tout . Ton cri du cœur pour la planète, lui, est très puissant. J'espère que le message de l'oiseau sera entendu.
C'est une très belle image de résilience !
Bien amicalement, Marie Sylvie