31 juillet 2025

Jeu chez Filigrane

JEU CHEZ FILIGRANE AOUT

https://filigrane1234.blogspot.com

Seconde classe

Chez la famille Smicard, c'est parti pour ""Les vacances "", 

sacs à dos pour seule valise !

La mère se relira ""La comtesse de Ségur "" dans le train.

""Les petites filles modèles ""qui n'en ont que le nom 

se disputent déjà pour la meilleure place dans le train.

Le fils prodigue qui n'a jamais lu ""Les malheurs de Sophie "" 

se plaint d'avoir deux sœurs envahissantes 

et toujours à se lamenter de ceci ou cela !

Le père Smicard se tourmente de sa condition et rêve

de gagner un jour au loto pour offrir de belles vacances à sa famille.

Mais pour le moment ils vont voyager en seconde classe.

Tous assis, ils attendent ce train qui, 

comme toujours arrivera en retard.

Mais cette année ils sont chanceux, ils ont deux jours de vacances.

Ils vont à la mer et ils dormiront sur la plage !

Et puis deuxième chance pour les Smicard; le train ne fera que deux

arrêts avant leur destination ! C'est pas beau ça !!

Ah les vacances de Smicard c'est pas royal d'accord, mais cela suffit

à leur bonheur.. 

Et puis ce qu'ils ne connaissent pas ne peut leur manquer n'est ce pas ??


30 juillet 2025

Atelier 256. Sacré Totor

 Prendre, partir, sentir, chemin, suite, soucis.

Texte avec des mots finissants par "" ie. ies. ""

Texte thème ""humour.""

........

Manies, abasourdie, braderie, causerie, droguerie.

....

Sacré Totor

Le Totor, il a de ces manies, je vous dis pas !

J'en suis souvent abasourdie !

Chez lui, son langage c'est la braderie, y'a de tout mais

c'est mal rangé.

Il est comme une droguerie où il faut chercher ce qu'on doit

y prendre et savoir décrypter les étiquettes !

Le sacré Totor est un cas je vous le dis.


Il faut l'entendre prendre des détours de mots pour expliquer

ses soucis du moment !

Il ferait partir le plus bête pour rester le seul !

Ses vocables ne sont guère nombreux et il se plaît

à dire qu'il parle patois de sa région ! Que nenni !

Il a de la suite dans les idées quand il veut quelque chose !

 Aujourd'hui sur le chemin, il a senti une odeur de brûlé,

car c'est le moment des brûlages aux alentours.

il en a déduit qu'il y avait un incendie au village.

Alors il a appelé les pompiers.

""Alors c'est Totor ! Dans le téléphone c'est moi qui dit que ya le feu ,

faut conduire le pin pon ici. Ca fait l' odeur dans le chemin

que  moi je suis !"""

Et le voilà qui raccroche !

J'vous d'is, le Totor il a de la causerie, c'est un sacré parlementateur !



23 juillet 2025

Défi chez Eléa

3 OU 6 Lignes avec le mot PERLE imposé

Perles translucides,
Qui sombrent, avides,
Pour former un soupçon
D'éclatement du son,
Goutte à goutte, sur l'étang
Qui s'éclatent en tombant.

                                                       Mon premier 6 vers ! L'ais je réussi ?

Avis des pros du genre ???

 

20 juillet 2025

Chez Miletune. Les ruminations.


Miletune semaine du 12/26 Juillet


Les ruminations.


D'un mouvement de tête, elle chasse son passé tumultueux

de ses pensées. Elle se renferme dans sa petite coquille là où

elle est si bien, à l'abri.


Elle ne veut plus entendre le bourdonnement incessant de sa mémoire,

celui qui tisse sa toile d'araignée, comme pour mieux emprisonner

les souvenirs mauvais qui font mal.


Quand vient l'heure du repos, elle éclipse ses ruminations,

elle vide son cerveau du négatif pour y placer un moment de paix.

C'est l'aube. La forêt est calme. Assise sur un banc, elle écouté

l'éveil des oiseaux.


Le jour fatidique s'estompe comme un long paysage qui défile

par la vitre de la porte du train, furtif, semblant être toujours le même,

 si furtif que ses yeux finissent par se fermer.


Les jours mauvais dorment, le temps de son sommeil...



 

18 juillet 2025

Chez Maridan. Sujet 5. Poème.

 


Un clic sur le logo pour participer

POEME. MARIDAN SUJET 5

************

Ma vieillesse


Ma vieillesse s'écoule comme un soir sans air,

Quand l’ombre lentement sublime tout le clair.

Chaque ride qui fend ce tout nouveau visage

Est le reflet d'un avant et lointain paysage.


Le vent de mon antan parfois me frôle,

Et mon passé se pose, sur mes épaules.

Que me reste-t-il donc, sinon une santé

Fragile comme un jour qui perd sa clarté ?


Le temps, depuis m'a pris ma brune couleur,

Et mes cheveux n’ont plus forme de fleur.

Devant le miroir, le grand des toilettes,

Je me vois ridée, mais toujours gaie et poète.


Car même si mon sang n’a plus d’emblème,

Mes silences sont souvent des je vous aime.

Le monde qui m'entoure me semble bariolé,

Et mon regard parfois s’y perd, comme affolé.


Je m’assieds en silence au bord du jardin,

Et presse un souvenir mental contre mon sein.

Les souvenirs coulent en mon cœur, en atonie,

Et je souris à ceux là, espiègle, avec de l’ironie.


Là-bas, où j'étais jeune, dort la verdure,

Où se cache les vœux anciens de la nature.

Mais, en moi coule ce feu, ces élans du cœur,

Juste l’écho joyeux de la Maman encore en fleur.


Et dans l’aube qui tremble, bonne nouvelle,

Je suis sure de voir se lever une chose belle.

L'amour, celui si fort, que me portent mes enfants.

C'est la seule énergie qui me fait vivre mon temps.


17 juillet 2025

Défi chez Maridan sujet 2


La Mariée d'un soir

Maridan ronde des mots sujet 2

Terres, large, rencontre, lieu, loisirs, aménagements,
randonnée, historique, occasions, ludique.


Dans les années 1950, sur les terres anciennes du château de Fontainebleau, une rumeur s’éleva comme une brume : le jeune chatelain allait se marier. L'annonce eut l’effet d’un éclair dans le ciel mondain, car personne n’avait jamais entendu parler de la future épouse. On parlait d’une rencontre soudaine, dans un lieu isolé de la forêt, là où seuls les habitués de la randonnée s’aventuraient, près des rochers de Franchard.
Elle s’appelait Marie. Du moins, c’est ainsi qu’elle s’était présentée. Elle n'était d’aucune famille connue, ne participait à aucun cercle de loisirs, n’avait aucun passé traçable dans les registres. Et pourtant, son regard avait fait vaciller le cœur du maître des lieux, comme un souffle ancien revenu hanter les couloirs.

Le mariage eut lieu dans la salle historique des fresques, en petit comité. Les invités notèrent l’étrangeté du moment : la mariée semblait venir d’un autre temps, flottant dans sa robe de soie aux reflets argentés, muette, sauf pour prononcer “oui”. Puis elle disparut, le soir même.

Le lendemain matin, Marie n’était plus là.

Sa chambre portait les marques d’un départ silencieux. La robe soigneusement repliée, les bijoux encore posés sur la coiffeuse. Le chatelain la chercha dans tous les recoins du domaine, des aménagements récents aux passages secrets oubliés des sous-sols. Il interrogea les domestiques, fouilla les abords du grand bassin, arpenta les sentiers en randonnée, le regard perdu.

Aucune trace.

Certains dirent qu’elle était un fantôme lié aux anciennes terres, revenue pour une ultime occasion d’amour avant de rejoindre l’au-delà. D’autres murmuraient qu’il s’agissait d’une mise en scène, un jeu ludique et cruel orchestré par une femme fatale.

Mais jamais, depuis ce mariage mystérieux, on ne revit Marie. Le château de Fontainebleau, majestueux et large, garde encore ses secrets.

Et dans le salon bleu, un petit portrait d’elle, peint en hâte la veille du mariage, 
semble parfois esquisser un sourire.



16 juillet 2025

Le raccommodeur des cœurs brisés. Chez An'Mai no 53.

Un clic sur le logo pour participer.
..............
(😜J'ai respecté la majuscule à chaque phrase ma copine😄)


 Le raccommodeur des cœurs brisés



Dans les ruelles froides aux néons parfois éteints,

Il marche, courbé, sac au dos, l’âme en chagrin.

Il cherche dans les poubelles, les cœurs oubliés,

Jetés le soir, dans l’ombre, froissés, sacrifiés.


Lui qui est si rêveur, se veut bâtisseur d’amour,

Alors que la vie l’a fait chiffonnier des jours.

Chaque battement perdu qui se renouvelle

Résonne en lui comme une veillée mortelle.


Le soir, à lueur d’une lampe, il cherche les jetés.

Il s’assied sans un mot, les paupières fermées.

Puis devant sa machine, au fil du destin,

Il rapièce les cœurs, point par point.


Des cœurs écorchés, fendus, si fragiles,

Il recoud leurs douleurs avec ses doigts habiles.

Une larme parfois tombe sur leurs coutures,

Mouillant alors son chagrin à leur déchirure.


Il ne demande rien, pas même un merci,

Il connaît trop bien les adieux sans bruit.

Il coud, il soigne, il tente l’impossible.

Redonner vie, insuffler l'amour à l’irréversible.


Pauvre homme avec son sac plein de cœurs brisés

Garde en son sein un cœur chaud mais si oublié.

Nul ne pense à lui, personne pour raccommoder

Le cœur de celui qui souffre mais qui sait réparer.


Dans les ruelles froides aux néons parfois éteints,

Il marche, courbé, sac au dos, l’âme en chagrin.

Il cherche dans les poubelles, les cœurs oubliés,

Jetés le soir, dans l’ombre, froissés, sacrifiés.

Liste N°106 chez An'Mai

Bleu, sauver, revanche, déployer, capricieux(se),escapade, épreuve, meilleur, confort, apocalypse


La déception au bout du chemin


Il était parti, avait quitté famille et amis pour vivre sa vie.

Près de sa belle amoureuse, il était heureux, comme un jeune oiseau

qui vient de déployer ses ailes pour son premier envol, dans le ciel bleu.


Sa revanche sur la solitude d'une chambre trop silencieuse quand

elle n'était pas au bout du fil...A présent il est à ses côtés et tous

deux pensent à leur avenir, certes précaire pour le moment mais

l'amour donne toutes les audaces sans être capricieux pour autant.


Son escapade pour une autre vie, sans le confort auquel il était habitué,

il s'y est fait et a pris le meilleur dans ces épreuves nouvelles.

Les travaux aux champs, il a fait, les corvées dans ce qui se nommait

l'endroit de vie, un vieux mobil home qui tenait debout par miracle, il

a accepté, les animaux nombreux, il a soigné, nourri sans jamais se plaindre, 

trop heureux de vivre auprès de son amoureuse.


Puis l'apocalypse est arrivée !


Un jour ou l'alcool fut trop présent, plus que d'habitude, on lui cracha au visage sa différence !

Un jour où l'alcool parla plus que les non dits, on le frappa, on l'insulta. 

Lui qui jamais n'avait connu la violence, lui qui n'était que douceur et serviabilité ne comprit pas. 

Depuis sa vie est un enfer et son refuge est un abri de fortune,

dans le restaurant ou travaille sa belle aimée.


Un appel, des échanges, et toute la famille, sans juger met tout en œuvre

 pour aider les deux tourtereaux à se construire leur propre nid. 

Quitter cet enfer et leurs habitants pour les sauver !

Quitter cet endroit pire que la cour des miracles de Monsieur Hugo !

Pas à pas, dans la patience et la volonté, de nouveaux jours

s'ouvrent devant le jeune couple qui enfin, ont osé se confier,

à qui les aime vraiment…


12 juillet 2025

La petit fille à la robe rouge. Chez Miletune. Sujet 147.

 La petite fille à la robe rouge


Le ciel n’existait plus.

 Il avait été effacé comme un mot avec une gomme quand elle allait à l'école. 

Mais ça c'était avant que plus rien ne soit pareil.

 Dans les ruines froides d’un monde suspendu, la petite fille en robe rouge attend immobile. Ses cheveux ternes tombent comme des fils sur son visage inquiet. Elle fixe le vide, là où il y avait la rue, sans vraiment la voir.

Elle s’appelle Miletune. Elle a huit ans et se souvient encore du goût de la soupe chaude, des mains de sa mère dans ses cheveux, et des blagues de son père qui les faisaient rire.

Ils étaient partis chercher de l’eau, peut-être autres choses aussi, elle ne savait plus.

 Ils avaient dit ""On en a pas pour longtemps soies sage"", avait dit sa mère en l’embrassant. 

Cela faisait tant de temps maintenant !!

C’est alors qu’il est apparu.

Un robot. Non une robote, immense, couleur d'acier comme les fourchettes et les couteaux , 

avec des articulations bizarres.

Sans même un bruit de métal, elle s'est agenouillée devant elle, 

doucement, comme pour ne pas lui faire peur.


""Tu es humaine, dit elle avec une voix étrange comme un écho aigu. 

Que fais tu ici, tu attends quoi ??"


Miletune hocha doucement la tête, sans oser parler. 

Papa et Maman, toujours avaient dit de ne jamais parler aux inconnus.

Elle serra les bras autour de ses genoux, comme si elle pouvait y enfermer tout ce qui restait d’elle.


— Mes parents, dit-elle simplement du bout des lèvres.


La robote inclina la tête, comme si elle fouillait dans des souvenirs !

 Parents. Un mot vieux, si vieux qu'elle ne s'en souvient qu'à peine.

Mais il sonne comme une aspiration d’une promesse,

d’un futur retour possible d'un passé englouti ?


Elle ne proposa pas de solution. Pas d’abri. Pas d’échappatoire. 

Elle s’assit simplement à côté d’elle.

 Le silence reprit sa place entre eux.

Le temps passa encore… Longtemps...


Miletune ferma les yeux. 

Elle ne savait pas encore si c’était un ange, un monstre ou juste une illusion de son espoir. La robote n'avait plus rien dit, plus rien fait et elle se leva, toujours sans bruit d'acier, marcha tranquillement sans se retourner vers ce qui devait être sa vie.


Miletune continua d'attendre. Ils avaient dit;

"" On en a pas pour longtemps soies sage """

Alors elle allait être sage . Attendre...Encore...Seule

dans ce qui fut son monde, dans l'aspiration d'un bonheur passé.


10 juillet 2025

Loggorallye no 1/2025


Les textes sont à remettre au plus tard le 9 de chaque mois !

Le principe du Loggorallye est de mettre dans votre texte,
les mots dans l'ordre donné, d' où  leur numérotation.

On peut conjuguer, mettre masculin ou féminin,
 mais pas changer les mots en adverbe ou adjectifs
ou les adjectifs ou adverbes en verbes.


 Loggorallye no 1

Merci à vous.

Bonjour mes fidèles,


Voici ma première histoire pour l'ouverture de ce nouveau jeu !

Nous allons vivre ce nouveau jeu ensemble et je lierai avec joie

vos écrits, vos poèmes, vos énigmes.

Il va me plaire ce nouveau jeu pour vous lire encore plus.

Vos averses de mots, vos joies, vos peines, vos fardeaux,

je les partagerai avec vous tous et ainsi pour nous tous,

ils pèseront bien moins lourds si nous savons lire entre les lignes

et présumer de ce qui n'est pas dit mais supposé.


Je profite de ce nouveau jeu pour remercier ici tous 

mes fidèles et ceux qui sont passés un temps, pour suivre 

d'autres chemins ensuite car chacun à sa vie.


Merci pour toutes ces années car sans vous mes fidèles écrivains

mon atelier n'existerait pas. Merci à vous de le faire vivre.

Le petit carnet perdu.#879.

#879 Chez Samedi-Défi
*********

Le petit carnet perdu.

Après le décès de ma Mère, il a fallu trier, garder, donner, jeter…
Ce jour là, j'ai retrouvé à l'âge de quarante cinq ans, un journal que j'avais tenu étant adolescente. 
Je croyais l'avoir perdu depuis longtemps.
En le feuilletant je tombais dur cette page….

Samedi 2 janvier 1965. (J'ai douze ans)

Aujourd'hui je vais passer trois jours chez mon amie Sandra, et nous allons à la neige.
 L' hiver qui fait tout blanc partout, et quand on marche sur la pointe des pieds, ca craque. 
Sandra et moi, on a construit un igloo dans le jardin.

Ça fait longtemps que je n’ai pas joué dans la neige, 
mais aujourd'hui, c'est bien et tu sais petit journal,
 personne pour venir m'embêter dans ma chambre. 
Je dors dans le lit jumeau de Sandra.
Tu sais petit journal, j'aimerai rester vivre ci.

Toujours là, toujours ensemble Sandra et moi.
Elle à deux chiens avec des poils longs.
(Mes parents ne veulent pas d'animaux).
Cet après midi, ils nous ont 
regardé creuser et nous tournaient autour. 
On s'est fait un petit igloo juste pour nous et les deux chiens.
Un petit refuge, rien que pour nous quatre.
Dedans, même pas froid !

Encore deux jours et je vais devoir rentrer chez nous.
Je vais devoir dormir dans ma chambre...


 

07 juillet 2025

Nouveauté dans l'atelier écriture.

 Sur mon autre blog, pour celles ou ceux à qui cela plaira,

un nouveau jeu débutera le 10 Juillet 2025

https://lesmotsdeghislaine.blogspot.com

Il s'agira du

Jeu chez Filigrane no 108.


*********
Jeu chez Filigrane no 108
sujet ici

Un homme à bout de souffle.

L'homme à bout de souffle court, court…
C'est le vol qu'il ne faut pas manquer.
Celui de la dernière chance !

Elle avait dit ;

Mon vol privé partira à Huit heures.
Soit là.
C'était la seule condition pour sauver sa vie.
Il n'y aurait plus d'autres chances.

L'homme le sait ! Il devra leur apporter les renseignements,
sinon il sera mort très vite ! On ne dupe pas l'organisation !
La mallette était prête. Les papiers volés au centre scientifique
bien rangés dedans. L'organisation allait faire une fortune avec
le résultat des recherches. Il le savait. Et dans l'avion, avec elle,
le grand ponte serait là !
Les plus importants feront partis de ce vol.

L'homme court, court, à bout de souffle !

Un ascenseur coincé de son hôtel l' a retardé !
Un imprévu complètement indépendant de sa volonté !
L'homme scrute sa montre !
Dix minutes !!
Allez il peut y arriver !! Cours , cours plus vite
se dit il .

L'avion est là ! Il prends son envol. L'homme court, court,
fait de grands gestes, crie, hurle, transpire , crie encore, presque à l'agonie !
C'est fini pour lui ! Il est arrivé trop tard..

Il se laisse choir sur le sol… La valise toujours accrochée à sa main.
Il essaie de reprendre son souffle. Les yeux pleins de larmes, il
ne bouge plus. Ne pense plus. C'est fini pour lui…

Soudain un énorme bruit comme un coup de canon, déchire le ciel,
et un volcan de nuages crachent du feu !Une fumée noire envahit
l'atmosphère.

L'avion vient d'exploser avec son bord, ceux qui tenaient sa vie dans leurs mains !

L'homme a cessé de courir ! Il éclate de rire !
Un rire comme personne n'a jamais entendu.

Cette chance il va la mériter !

Chez lilou Le mot mystère 23.

 

Un clic sur le logo pour en savoir +

définition :  

autocollant destiné à être appliqué sur une vitre, une vitrine, 

et à être vu de l'extérieur

12 lettres -nom féminin

A A E I I U V T P H N R

vitrauphanie.

Les épices de Lilou

 : taupier, pétunia, huitaine.

Mes légumes

Hautain, envahi, pâture, vanité, autre, avare, hanté

..................

La Lettre

Arnaud Royer, homme hautain et avare était hanté par la lettre reçue

ce matin et envahi de peur. Adressée à lui personnellement, 

chose rare car habituellement le courrier est adressé à l'entreprise.

Il avait fait fortune de façon peu glorieuse mais de cela il ne parlait pas et personne ne devait le savoir.

Sa vanité, autre trait de son caractère en faisait un être peu aimé !

Mais il s'en fichait, pour lui seul comptait ce que l'argent pouvait lui offrir. 

Et il ne manquait de le faire ostentatoirement.

Maison de maître avec serviteurs nombreux, 

voitures de luxe dans des garages somptueux et j'en passe.

Mais pour le moment il ne pensait qu'à la lettre : Maudite lettre !

Il allait être jeter en pâture au monde entier ! 

Mais comment ce maître chanteur avait il pu savoir ??

Il signait "" Le Taupier ""

Comme pour bien marquer que le nuisible c'était lui Arnaud Royer !!

La lettre disait ;

""Sous huitaine, je veux que tu donnes tous tes biens

a des œuvres de bienfaisances, je veux que tu trouves un travail rémunéré 

et que tu en vives comme tout un chacun.

Tu peux juste conserver le petit studio que tu as acquis au prix de ta trahison, sinon je révèlerai au monde entier comment tu as volé, trahi, trompé pour t'accaparer la fortune dont tu disposes.

Arnaud Royer était en sueur, sa belle chemise collait a son torse et à sa bedaine proéminente. 

Il devenait rouge, cherchait sa respiration.

Essayait de réfléchir comment retourner le problème mais rien ne venait.

Huit jours !! Mais il allait tout perdre !! Maisons, voitures, sa belle vie de mondain... Mais quoi faire d'autre que d'obéir à ce taupier s'il ne voulait pas être sali par la terre entière ?

Oui, il le sait bien ce qu'il avait fait. Mais après tout, il n'avait pas tué ! Juste falsifié un petit papier... Il avait juste changé une lettre dans le testament. Les deux témoins étaient décédés ! Qui pouvait donc savoir ?

Oui il se souvient .Hélène de Hauteville, jamais mariée, n'avait pour parent que son fils de huit ans, reconnu par son père avant qu'il ne meure dans un accident d'avion. Plus aucune famille des deux côtés.

Hélène avait hérité sa fortune de ses parents décédés ensemble lors du covid de 2020, 

elle vivait assez recluse depuis ces tragédies.

La tentation avait été trop forte, surtout quand il avait vu le nom du petit ! Arnaud Boyer qu'il s'appelait, il lui avait suffit de changer une seule lettre puisque dans son testament aucune précision sur la filiation n'avait été inscrite, Elle avait juste fait mentionner ;

"" Arnaud est le seul à qui je veux léguer tous mes biens ""

Oui il le savait ce qu'il avait fait  ! Il n'en avait jamais été perturbé jusqu'à ce jour !

La lettre ! Horrible lettre qui pouvait lui faire tout perdre !

Mais comment faire autrement ? Mais qui était donc ce taupier ?

Deux jours avait passé. La lettre relue des dizaine de fois ! Il n'en dormait plus. Il ne pouvait pas se résoudre à ce que tout le monde sache ce qu'il avait fait quand il était un jeune notaire.

Il pouvait pas aller en prison. 

La mort dans l'âme, il du se résoudre à obéir au taupier.

Ce qu'il ne sut jamais c'est que le petit Arnaud Boyer vers ses trente ans, découvrit le pot aux roses par hasard. Bien sur il y avait prescription et il ne pouvait pas le prouver mais au moins cette fortune allait profiter a des gens dans le besoin.

A ce jour, Le voleur d'héritage vit dans son studio, travaille comme tout le monde pour subvenir à ses besoins. La grande vie est finie et sa trahison grâce à Arnaud Boyer a fait bien des heureux.

Sa seule passion, ce sont ses pétunias, ses jolies fleurs qu'il aime tant.

Il est juste bien dommage qu'il n'est pas eu à rendre des comptes

à la justice à cause des délais de prescription !



05 juillet 2025

Logo rallye chez Miletune no 146

Boue, lit, passion, prudent, lumineux, folie, battre, s'évanouir, pourquoi


Meurtre au boulevard de Falicon.

Madison et Pierrick, nos deux inspecteurs de Nice, vivaient donc ensemble, 

après s’être rapprochés au cours de leurs enquêtes.

La folie d’une nuit de passion torride avait scellé cette union, et depuis, ils vivaient ensemble.

Désormais, c’est tous les deux qu’ils allaient se battre, en couple, à la vie comme au boulot !

Ce soir-là, au lit, endormis, la sirène des pompiers les réveille.

Leur téléphone sonne.

Un meurtre a été commis dans l’incendie de l’immeuble du boulevard de Falicon.

Le côté nord a brûlé.

Le feu est maîtrisé, mais les pompiers ont découvert un corps à l’endroit où l’incendie a débuté.

Un accélérateur de combustion a été trouvé ! Voilà pourquoi le couple se rend sur place.

La légiste, Séverine Jumot, les avait précédés.

L’incendie avait ravagé plusieurs étages et causé de nombreux blessés.

L’air était irrespirable malgré les masques.

Les murs étaient noircis, l’escalier plein de suie, et c’était au septième étage.

L’ascenseur, bien sûr, était hors service.

L’immeuble avait été évacué.

Premières constatations de la légiste :

Homme blanc, la trentaine, dentition intacte,

un tatouage partiellement effacé dans le dos.

L’homme ne s’était pas défendu et devait être endormi.

Os hyoïde cassé : il y avait eu étranglement.

Autopsie à prévoir pour confirmer les indices relevés.

Pierrick et Madison trouvèrent assez rapidement le coupable.

Je vous passe les détails de l’enquête pour ne pas vous lasser.

Je vous fais part de la conclusion finale, cependant :

La sœur du défunt l’avait endormi avec des somnifères,

avant de mettre le feu à l’appartement après l’avoir étranglé.

Quand ils se présentèrent à son appartement pour l’arrêter,

elle se faisait un soin de boue au visage pour avoir le teint lumineux.

Entre nous, quand elle sera à l’ombre, il risque d’être beaucoup moins lumineux !

Elle fit tout de même semblant de s’évanouir,

mais son petit manège n’eut aucun effet.

Le temps qu’elle se prépare, le prudent Pierrick se posta devant la porte,

et Madison, devant la seule fenêtre du studio.

Il ne fallait pas que cette horrible meurtrière leur file entre les pattes.

Elle n’avait pas hésité à tuer son frère,

sans se soucier de faire d’autres victimes collatérales !

Tout cela pour hériter seule de la fortune de l’oncle Gérald,

qui vivait en Tunisie et avait légué sa fortune et sa maison à elle et à son frère.

Ce fait divers est partiellement vrai, mais agrémenté à ma sauce !

Or, une montagne de « pourquoi » m’assaillent quand je lis ce genre de faits divers…

Le mal, la violence seraient ils devenus une nouvelle façon de vivre ??

Pourquoi, pourquoi ???

 .......................



02 juillet 2025

Défi 182 chez Thé Ou Café

Un clic sur l'image pour en savoir +


Fait moi un Cygne

Les voilà qu'ils sont neufs petits cygnes.

Une belle famille dont le Papa et la Man, pour le moment vivent

en famille et sont protégés.

Puis dans quelques semaines chacun partira à l'aventure faire sa vie.

La Maman signe les questionne sous le regard attentif de Papa cygne.

Où pensez vous aller vivre mes chers petits ?


Ali réponds;

Là ou les vagues me porteront.

Bali répond;

Là ou l'eau sera douce et claire.

Cali réponds;

là où je pourrais rencontrer des amis.

Dali réponds;

Là où je pourrais manger à ma faim.

Elly répond;

Moi j'irai en suivant la montagne des yeux.

Fady réponds;

Oh moi je serai l'aventurier des mers.

Gaya réponds;

Moi, je suivrai Papa, car il est fort je ferai comme lui.

Ivan réponds;

Moi je ne veux pas partir, je veux rester avec vous deux.

 La Maman cygne prends alors un ton plus encourageant,

et lui explique qu'elle  lui montrera la voix la plus sure pour lui

Le Papa cygne lui dit de sa voix gentille qu'il doit lui aussi

construire une famille et partir.

Alors le petit cygne les regarde tous les deux et leur dit !

Pourquoi nous mettre au monde si c'est pour nous faire partir ailleurs !

La Maman dit ;

C'est la nature, on vit , on fait des bébés, on part, on meurt..

Et l'on voit sur le coin de l'œil de Ivan, une petite larme qui coule...


01 juillet 2025

Liste 105 chez An'Mai

Remporter, ultime, indice, basculer, logique, 

génération, menace, problématique, parole, ambiance

*******


Une problématique menace vient perturber son affaire.

Est elle l' ultime parole qui va faire tout basculer ?

En toute logique, l'ambiance qui aurait du régner semblait tout à coup changer de cap.

Le gars , en face de lui, la face plus patibulaire que le mot, venant d'une génération de paranoïaque, venait de lui poser la seule question qu'il n'aurait pas voulu entendre. A le voir, on savait aussitôt qu'il avait remporter le premier prix le jour de la distribution des suspicions et des doutes !

Il fallait que Pierrick agisse encore plus vite que penser pour que la situation ne bascule pas dans le tragique, ce serait sa perte !

La situation devenait critique.

Infiltré depuis plus de un an dans le clan, Pierrick Mandal, Inspecteur plus qu'habile était presque prêt à démanteler le réseau de drogue de la cité des Palissades…. 

Les indices données par sa source étaient plus que fiables.

Inconnu dans la région, Pierrick avait un passé tout construit par

""OCRTIS"", Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants. 

Donc impossible de le soupçonner d'être un flic !

Un coup du destin qui frappe quand on ne s'y attend pas, venait pourtant de tout remettre en question !

Un nouveau dans la bande, arrivé depuis peu dans le réseau s'était pointé le matin même,

 il gérait le quartier de la cité voisine.

Quand il vit Pierrick, il dit;

""Salut mec ! Mais on se connait non ???""

Pierrick sentit son cœur s'accélérer. Sur qu'il le connaissait,

il l'avait arrêté à Nice cinq plus tôt.

Pierrick, depuis, cheveux longs et barbe imposante était peu reconnaissable

 mais parfois on laisse un souvenir précis aux gens !

"" J'crois pas non mon gars !! En tout cas moi j'te connais pas et j'oublie jamais un visage ""

Le gars donc, celui a la mine patibulaire venait de lui poser la question.

"" T'es sur mec que tu connais pas Freddy ?? C'est quand même étrange que lui te connaisse non ?""

Pierrick se mit à rire et lui répondit;

""Tu sais, va savoir si on s'est pas croisé dans les couloirs d'une prison !!""

Le Freddy se mit à rire et le patibulaire aussi !

Ils n'avaient pas gagné le premier prix le jour de la distribution

des neurones de la mémoire.

L'affaire en resta là, l'indic envoya la dernière preuve,

Jour et heure de la réunion des gros bonnets de la drogue.

Son infiltration de un an allait prendre fin.

Demain le coup de filet serait dans tous les journaux

et BFM en parlerait pendant des jours et des jours sans que

jamais son nom ne soit mentionné car Paul Villard n'existait plus !

Pierrick fut heureux de reprendre son apparence et de retrouver une vie normale à Nice avec sa Madison… Ce fut long cette année….

b:section-contents id='footer-1'/>