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Le Nabab
Sous les coupoles d’or, au milieu des festins,
Vit un Nabab, maître de mille destins.
Parfums, luxe et banquets somptueux
Ne comblent pas sa vie à ses yeux.
Un soir, dans la foule, il vit une lumière;
Une femme du peuple, simple et fière.
Son aura éclatait, comme une survivance.
Le Nabab changea de vie pour sa confiance.
Il la suivit loin des palais étouffants,
Quittant trône, trésors et serments.
Plus tard, il trouva dans sa pauvreté,
La seule richesse qu’il ait jamais goûtée.
Le Nabab épousa la femme à l'aura bénit.
Elle le combla bien plus qu'un génie.
Il ne quitta plus jamais sa Nababesse.
Pour lui c'était sa seule prophétesse.

Il a traversé la rue pour trouver l'amour. Toute ressemblance avec la politique et le travail serait fortuite mdr !
RépondreSupprimerBon dimanche.
Coucou ma tendre Ghyzou, de coupoles d'or en festins, de destins en parfums,
RépondreSupprimerde trônes en trésors, te lire est ainsi donc auréolé de tous ces jolis mots que tu nous contes, même la "nababesse" s'en nourrit de tendresse. Reçois mes douces pensées et mes bouquets de bisous pour toute la famille en ce jour dominical. Tendre amitié.
Chère Ghislaine,
RépondreSupprimerTon poème est magnifique.
C'est une histoire touchante, écrite avec beaucoup de sensibilité et de belles images.
L'ensemble de ce poème est un beau message sur la vraie richesse de la vie.
Bien amicalement, Marie Sylvie