17 novembre 2024

L'atelier chez An'Mai no 91

 Départ, principe, sensible, proximité, surtout, honneur, embobiner, minuscule, devenir, adaptationInvisibles, engagements, croiser,  légende  intervention, diable, refuser, revanche, indifférent, exception

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L’injustice, le fardeau du monde


Le départ de toute réflexion sur l’injustice commence par un principe simple : celui de l’égalité entre les êtres. Pourtant, ce principe, si sensible dans l’esprit humain, se heurte à une réalité marquée par des fractures profondes. L’injustice naît souvent dans la proximité, là où l’on s’attendrait pourtant à trouver le respect et la compréhension. C’est surtout dans les rapports quotidiens, dans les détails minuscules de la vie, que les formes les plus insidieuses de l’injustice se manifestent.


L’injustice embobine, elle joue de ses charmes, et souvent, elle se drape d’un semblant d’honneur pour justifier l’injustifiable. Comme un récit habilement ficelé, elle cache ses rouages sous des engagements invisibles, des promesses silencieuses que peu remarquent. Mais lorsque l’on y regarde de plus près, que l’on croise enfin les fils de ce tissu social, on découvre qu’elle prospère dans l’ombre des interventions non faites, des gestes refusés.


Ainsi naissent les légendes de ceux qui résistent, qui dénoncent, qui refusent d’être indifférents. Ces figures, bien qu'honorées dans la mémoire collective, subissent souvent le poids d’un système qui semble pactiser avec le diable. Elles deviennent les exceptions dans un monde qui accepte bien trop souvent l’injustice comme une fatalité.


Refuser l’injustice, c’est prendre le risque de devenir un marginal, d’être à contre-courant. C’est un acte d’adaptation constant, une volonté de ne pas céder à l’habitude ou à la résignation. Mais c’est aussi chercher une revanche contre tout ce qui nous aliène, une revanche silencieuse mais tenace qui, par des gestes infimes, des mots justes, peut ébranler un ordre établi.


Le combat contre l’injustice est celui d’une humanité qui refuse de perdre son âme. Il est difficile, exceptionnel, mais profondément nécessaire. L’injustice, omniprésente mais jamais invincible, nous rappelle qu’en chaque individu réside le pouvoir de changer le cours des choses.



13 novembre 2024

La valse des mots chez Nanou no 7

 

Valse no 7 chez Nanou

mer -lentement – écrire – tranquillité – famille – bon – vent – danser – souvent – lire.


Les mots d'avant.


Elle pose lentement ses mots sur le papier,

comme une barque qui dérive en mer,

au gré de l'eau, sans vent, qui ondule.


Ses mot dansent comme au bon vieux temps

de la famille unie et joyeuse,

dans la tranquillité d'un futur prometteur.


Les écrire est pour elle source de promesses

que d'autres vont lire dans l'allégresse.

Parfois en faire une musique pour danser.


Mais depuis la vie a changé.

Ce qui était n'est plus.

Depuis bien trop Souvent hélas.


Ne sont plus ce qu'ils étaient...


11 novembre 2024

Le mot mystère chez Lilou no 6.

Le mot mystère est; Engastrimythe.
Les épices de Lilou; Maternité, triste, aigrette,
Mes condiments ;
Hésita, agent, magie, taire, terne, Serge, terme.
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Josselin quitte la scène.

Juillet était presque fini. L'aigrette à peine sortie de maternité nourrit ses petits.
La chaleur est là et bientôt les petits seraient adultes.
Josselin en était là de ses pensées se promenant dans le bois jouxtant son studio.
La nature était triste, malmenée par ce climat incertain.
Josselin hésita à rentrer. Il avait encore besoin de réfléchir à sa situation.
Il voulait changer de vie depuis longtemps.
Il en avait assez, tous les soirs, de faire son engastrimythe !
Il avait averti son agent !
Il avait dit '' Encore un an et stop "
La magie n'était plus là ! Il voulait sortir de cette vie terne et sans joie pour lui !
Serge, son agent n'était pas d'accord mais l'échéance arrivait à terme !
Revenu de sa promenade cogitative, il appela son agent pour mettre un
un point final à leur contrat comme c'était prévu !
Dans six mois il serait libéré de cette vie.
Un sourire heureux se dessina sur son visage....


05 novembre 2024

Le petit jeu chez Chricket de Novembre

 



Novembre :

 Homonymes 

vaut vos,  veau, vau -

Faire un texte avec le verbe 

MONTER

Et ajouter 5 mots auxquels il vous fait penser;

Descendre, escalier, hauteur, marche, énergie.

 J'ai tout regroupé dans un seul texte


 Le club des éclopées


Voilà que tout chez moi, enfin dans mon moi intérieur,

part a vau l'eau !

Au casino on dirait faites vos jeux, rien ne va plus !

La machine se rouille les amies je vous le dis !

Un regain d'énergie en ces moments serait bien salutaire !

Je n'arrive plus à monter les escaliers d'une seule traite !

Mais les descendre là ça va tout seul !

Fichtre ! Fait pas bon prendre de la hauteur !

Je marche comme un vieux veau à la retraite qui va donner

des escalopes aussi crémeuses que des rangers !

Faut se motiver je vous le dis !

Tiens il me vient une idée....(comme la chanson)..

On va monter un club d'éclopées ! An'Mai l' a déjà

rejoint de par son texte pour Chricket !

Qui s'abonne ???

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Mon corps est fatigué, chaque geste devient lourd.

Où est passée la force qui me portait toujours ?

Nul élan, tout effort me semble trop grand,

Tant j'ai l'impression de traîner mes pieds lentement.

En quête d'énergie, je cherche une étincelle,

Rêvant d'un regain pour retrouver mon aile.


Homonymes no 4 chez Nanou

 

*****
Cliquez sur son logo pour voir les thèmes.
*********
Sujet 1 Les rats, ras..etc...

Je ne vous dis pas Merci

Quel rat ce mec ! Je vous en averti si vous ne le savez pas !
Un vrai raz de marée dans le portefeuille.
A coups de ra, je le crie sur la place du port, quitte à provoquer
le départ du ras pour chasser les rats de son rafiot, bien installés
sur leur banc quand ils ne dorment pas.
J'en ai ras la casquette(ou plutôt celle de mon mari car moi je n'en porte pas),
des députés qui nous pondent des lois incroyables.
Voilà la nouvelle de Monsieur Caron qui veut nous pomper une taxe
pour nos animaux à quatre pattes ! Je m'insurge !
Les abandons vont se multiplier, que vont devenir les refuges?
Et je ne parle pas au point de vue humanité quand certains n'ont
dans leur vie que leur animal de compagnie !
Monsieur Caron, je ne vous salue pas et ma petite chienne non plus !
......
Sujet 2 
Râtelier me fait penser à 
automne, saison, bois, arbres, feuilles.
........
Celle que je préfère

Les bois se font lumineux car ses arbres se recouvrent de feuilles mordorées,
magnifiquement sublimes.
Les jardins sont recouverts d'un tapis doré qui fait reprendre
du service au râtelier qui se morfondait dans son abri.
Quelle belle saison, je ne m'en lasserai jamais.
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Sujet 3 

Acrostiche Râtelier

Ramures rousses frémissent sous le vent.
Ambrés éclats jonchent les sentiers charmants.
Tapissant le sol, les feuilles s’endorment,
Et dans l’air, le parfum des bois se transforme.
Le ciel se voile, d’un gris doux et léger,
Invite la brume à danser sur les prés.
Eclats de châtaignes, murmures feutrés,
Renouveau apaisant, la nature se tait.

03 novembre 2024

Atelier no 90 chez An'Mai


Les mots de la liste 90 ;
Jouer, époque, loufoque, franchise, essentiel, manquer,
profondément, rafraîchissante, astuce, cauchemar..
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Dans quel état j'erre ?

Je suis profondément en plein questionnement sur l'époque que nous vivons.
Complétement loufoque et le mot est bien faible !
Où est le temps où la vie était rafraîchissante?
Où la franchise et l'humanité étaient essentielles ?
C'est une vie de cauchemar à présent où jouer avec la vie des autres
est devenue une banalité incroyable et horrible !
Hélas il n'existe aucune astuce à notre niveau pour y remédier !
Ces fous qui tuent pour rien !
Ces jeunes à peine sortis de l'enfance qui prennent
des vies pour rien !
Manquent ils tant de discernement ?
Manquent ils d'éducation ?
Que devient ce monde où l'insécurité est à chaque tournant de trottoir?
Où le respect pour la vie d'autrui ne compte plus du tout ?
Où un regard trop appuyé vous fait craindre le pire ?
Où sont passées toutes ces valeurs ?

Mais dans quel état j'erre ?

28 octobre 2024

Le mot Mystère chez Lilou no 4

 


A E E E I M S S C L L N
Mes anagrammes
Cesse, classe, scènes, messe, sésame, malle, malices.
Les épices de Lilou : 
CAISSE – CALINE – SEMELLE

Miscellanées est le mot à trouver.

Le pique assiette

Il en fait des caisses pour épater la galerie. Il ne cesse de vouloir avoir la classe quitte à
battre la semelle pendant des heures pour être aux premières loges.
Pour avoir ouverture au banquet, il se la joue grand seigneur
 avec ses habits loué au rabais pour sésame pense t il !
Il se fait l'iris câline pour amadouer le portier, 
voulant jouer l'infiltré et s'il en savait une, il lui réciterait une messe !
Le portier point dupe de cet intrus, lui tint ce langage,
n'en déplaise à Monsieur De Lafontaine;
""Dis donc toi, range ton sac à malices dans ta malle des oublis et déguerpis au plus vite ""
Pauvre de lui , encore une fois , le voilà découvert !
La mine déconfite, il se jure que plus jamais
on ne l'y reprendra à louer des smokings à bas pris !

17 octobre 2024

Atelier 89 chez An'Mai.

****INFOS**** ICI ****Tuto

Je vous alerte sur le fait que parfois les commentaires que vous déposez sur mon blog
vont dans les SPAMS.
Je vous conseille d'aller voit souvent dans "" Commentaires ""
cliquez sur la petit flèche.
Regardez vous aurez, 
modération en attente
publié
Spam
C'est là que vous verrez si vous avez des spams et ce sera des commentaires.


 

ATELIER 89 AN MAI

A l'envers, incertitude, échanger, cynique, retourner, 

séduit(e),pagaille, quelque chose, temporaire, exposition


Dans le vent des jours, tout semble à l'envers,

Le cœur vacille sous l'ombre de l'incertitude,

On voudrait parfois échanger un soupçon d'air,

Pour fuir ce monde trop cynique, rude.


Les rêves, eux, tentent de retourner en lumière,

Mais l'esprit est souvent trop vite séduit,

Par les éclats d'une beauté temporaire,

Une illusion qui dans le noir s'enfuit.


Et voilà, dans cette pagaille désordonnée,

On cherche un sens, une voie, une direction,

Comme si quelque chose devait tout dévoiler,

Dans cette étrange exposition des émotions.

16 octobre 2024

Chez Cricket homonyme octobre

***INFO IMPORTANTE  ICI  TUTO***

Le jeu des Homonymes chez Chricket

Otant, au temps, autant, autant (vent)


Acrostiche VALEUR


Vigilance face à l'injustice,

Accueil des différences avec bienveillance,

Liberté de penser et d'agir avec responsabilité,

Equité dans toutes nos actions,

Utilité du bien commun avant tout,

Recherche constante du juste et du bon.


Le mot Valeur me fait penser à;

principe, liberté, juste, bienveillance, avenir.

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L'autant soufflait sur la vallée, comme un vent de liberté,

mais doucement, avec bienveillance pour principe.

Au temps jadis, jamais il n'y avait autant de soucis climatiques.

Nous ôtant toutes prévisions certaines parfois, le temps

fait comme il peut je pense.

Mais je me demande bien ce qu'il va advenir de notre futur? 

15 octobre 2024

Mon texte atelier 247.

Atelier 247.

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Tentation, mission, essai, test, obscure, savoir, maintenant, pourquoi, hélas, présent, agir, faire, noble, néanmoins, nulle, nombreux, nette.

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  Le message anonyme

La ville était obscure, les ruelles étaient plongées dans une brume opaque, l'homme voulait résister a la tentation mais c'était plus fort que sa volonté hélas.

L'inspecteur Pierrick Mandal, menait sa mission. Un meurtre avait eu lieu dans une vieille maison abandonnée, sans aucun témoin ni indice apparent. Le deuxième de ce mois dans les mêmes circonstances sans que l'on sache pourquoi évidemment.

Seule une information anonyme lui permettait d'être là, avec Madison à suivre cet homme maintenant.

Le message disait ; cette nuit suivez l'homme qui sera tapi dans l'ombre,

 au niveau de la rue droite, dans le vieux Nice.

Depuis des mois, chaque piste semblait nulle, chaque essai de reconstitution des faits échouait, laissant Pierrick face à de nombreux doutes. Pourquoi le meurtrier n'avait-il laissé aucun indice ? Était il un génie du meurtre ?

Chaque essai de théorie ne correspondait pas.

Néanmoins, une chose était nette pour l'inspecteur : l'assassin était toujours présent, et avait déjà commis deux meurtres atroces. Laissant ses victimes mutilées et violées.

La pression montait à la brigade.

Madison Verrand, sa collaboratrice et désormais compagne, surveillaient donc cette nuit la rue suite au message reçu !

Ils auraient aimé pouvoir agir et faire boucler ce tueur mais pour le moment les tests n'avaient pas abouti. Leur noble métier comportait souvent des déceptions mais aussi des victoires et c'était cela le plus important.

 Soudain, une ombre se dessina sous le réverbère du coin de la rue. On voyait nettement la silhouette d'un homme, grand, capuche sur la tête, qui longeait le mur. Il stoppa devant une maison, et sans vraiment forcer ouvrit la porte et entra.

Madison et Pierrick le suivirent aussi vite sans faire trop de bruit. Mais l'homme ne pouvait pas  les entendre bien trop occupé a bâillonner sa victime à moitié endormie dans son lit.

Quelle récompense de l'avoir enfin alpagué !

Ils se regardèrent fièrement et firent venir le reste de l'équipe pour les constatations.

En garde à vue, Pierrick et Madison apprirent que c'était lui qui avait envoyé le message anonyme ! 

Il voulait se faire arrêter car il n'arrivait pas à maîtriser ses pulsions.

Mais cet aveu n'empêchait pas que c'était un monstre qu'ils venaient d'arrêter !!

 

14 octobre 2024

Le mot mystère chez Lilou no 4

                                                                   Le mot mystère Lilou

Rabouilleuse, dépouille, vadrouille

Anagramme de. AEEIIIOUUPLLDDVRBSM

Soupira, survola, râleuse, plombes, poireau, prise

Le mot est ; Paludoludiverbisme.

****************

Partie de pêche

Au bord de l'étang, Genny faisait sa rabouilleuse et son père détestait ça ! Il pêchait à la ligne !

Elle n'aimait pas aller à la pêche avec son père.

Elle ne supportait pas ce silence pesant qu'il lui imposait.

Elle aurait préféré aller vadrouiller en foret, dans les bois d'automne si jolis, voir les oiseaux, les écouter chanter, ramasser les feuilles mordorées,

 se coucher dans la mousse si douce et rêver à plein de choses.

Elle soupira ! 

Un oiseau survola l'étang, elle le suivit des yeux. 

Elle s'ennuyait Genny et elle ne pouvait même pas faire sa râleuse ! Il fallait su silence !

Des plombes qu'elle était là à faire le poireau en attendant la prise du siècle !

Mais ! Miracle ! enfin ! La ligne s'agita ! Enfin de l'action !

Genny regarda son père tirer sur la cane à pêche.

C'était du gros sans doute car il tirait fort pour remonter son poisson !

Soudain, leurs regards se figèrent !

Au bout de la ligne, une main encore accrochée à une épaule. 

Quelle horreur. Sans nul doute un morceau d'une dépouille..

Genny voulait de l'action, hé bien elle allait en avoir !


 


 

11 octobre 2024

Valse no 4 chez Nanou

 

Valse n°6 chez Nanou

nuage – bien – vérité – courage – ouvrir – rapidement – montagne – découverte.

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Maman Nuage est bien inquiète pour petit nuageau ce matin.

La montagne leur a demandé de survoler rapidement

tous ses versants.

Petit nuageau est enrhumé, il a le nez qui goutte depuis hier et Maman Nuage a bien peur, en vérité 

que cette découverte de plus ne lui apporte un plus gros rhume !

Aussi dit elle à la montagne de bien vouloir attendre quelques jours,

 le temps que petit nuageau se remette un peu de ses sorties qu'il a faites avec courage 

sur les villes de ces jours derniers.

La montagne se dit conciliante et lui dit de veiller sur petit nuageau 

et que pour le moment , elle va demander à

Monsieur soleil d'ouvrir tous ses rayons en attendant sa guérison !

Maman nuage est heureuse et remercie bien chaleureusement Madame la montagne.

Ainsi fut fait et Maman Nuage mit au sec son Nuageau !


04 octobre 2024

Homonyme chez Nanou no 3

 


Lai, lais, laid, lait, laie, laye.
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 Un homme, des passions

Benjamin, l'enfant né et vivant à la station de Laye depuis toujours,
 si laid étant bébé, est devenu ce beau gosse
de trente deux et directeur de la station depuis quelques années.
Il a un teint de lait malgré les UV qui le bombardent au soleil de la station.
Mais Benjamin n'a pas que ce métier, passion pour lui qu'il partage entre deux autres.
La deuxième c'est la plénitude qu'il ressent à écrire ! Mais pas n'importe quoi !
Benjamin écrit des lais et un lai en particulier l'a fait connaître, car écrit en latin.
Sa troisième passion est un peu moins ordinaire mais quand même surprenante !
Il élève des laies ! La région se prête d'ailleurs à ce métier , les sangliers étant très prolifiques
dans cette région des Hautes Alpes.
Benjamin est depuis toujours hyper actif mais,
qu'en sera t' il quand il sera en couple avec la belle 
boulangère avec qui on le voit souvent
en ce moment ?

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01 octobre 2024

Atelier no 88 chez An' Mai

 


Liste 98 An'Mai

***Maillon, grinçant, disponible, composer, drôlement,
 timidité fraîche, mensonges, résister, beaucoup***

Les mots de la vie

La matinée était beaucoup plus fraîche pour la saison ;
La timidité du soleil retardait son lever, 
comme s'il voulait un peu plus composer avec son crépuscule 
encore disponible pour quelques minutes.
Héléna s'était levé aux aurores, drôlement contente de sa décision nocturne.
Elle allait se reprendre, résister au chagrin, à la trahison subie.
Ce beau parleur avait cru l'anéantir par ses mensonges.
Certes pas, elle ne lui ferait pas ce plaisir.
Elle ne se laisserait pas aller au 
désespoir grinçant de la haine, des regrets ou de la colère ! 
Ils ne sont que les maillons de la chute ! Elle valait mieux que ça !
Voilà pourquoi ce matin, accompagné de son fidèle chien "Loustik", 
elle marchait dans la forêt, son petit carnet et son crayon dans son sac ,
 cherchant un coin plaisant pour y écrire les mots rageux, 
les mots consolateurs, les mots revivance, les mots de la vie tels 
qu'elle veut les faire vivre.

Atelier chez Nanou no 98

 Phrases : 

forme de violence muette - capot d’une voiture - salon du livre – mais pourquoi non ? - hausser les épaules - un regard noir - une tasse de café

- Mots ou expressions : 

futur – guerre – mourir – sombrer – fanfare.

- et/ou Thème : INJUSTICE

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L'émigrée

Elle n'avait pas fait jouer la fanfare pour en parler !

Elle avait haussé les épaules de dégout.

Devant cette forme de violence muette, les yeux voilés et humides, elle s'était tue.

Dimitri, son mari s'inquiétait pour elle. La Roumanie était loin. Ils avaient cru être heureux ici.

Elle détestait l'injustice sous toutes ses formes.

Dimitri le savait. A la bibliothèque où elle travaillait, elle avait d'ailleurs suggéré de créer

  un salon du livre sur ce thème là. Hélas cela fut refusé mais pourquoi non, elle ne le sut pas !

Dimitri l'observait ; Le regard noir posé sur sa tasse de café, elle semblait ailleurs.

C'était la guerre dans ses yeux, mais sombrer dans un futur de colère ce n'était pas son genre.

Elle aurait préféré mourir plutôt que donner satisfaction à tous ces vauriens.

Dimitri la vit se diriger vers la cuisine, prendre le nécessaire pour effacer les inscriptions

sur le capot de la voiture. Doucement, il lui prit le seau des mains et ensemble,

ils effacèrent les injures , le rejet, l'irrespect tandis que les larmes coulaient

sur le visage de Loréna.

25 septembre 2024

Atelier 246

 


Atelier 246

Sujet 1.Sens, ressentir, émois, cœur, battre, fort.

Sujet 2. Texte avec des mots commençant par "" par ""

Sujet 3. Ressenti sur cette image ci dessus

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Par la fenêtre, j'écoute la pluie pleurer ses larmes.

Partager entre mes émois et ma raison,

je pars en pensées et la voilà qui divague, mon Ame.

Pareil à un battement de saison.


Par la fenêtre, j'écoute la pluie pleurer ses larmes.

J'entends les gouttes partir dans tous les sens,

parsemer les carreaux d'eau sans un blâme.

Mon cœur bat fort, je ressens sa violence.


Par la fenêtre, j'écoute la pluie pleurer ses larmes.

Partout son bruit s'écoule, s'insinue, se disperse.

La pluie ne sait pas naviguer sans ses rames,

Sur les routes, elle se fait soudain tristesse.


Par la fenêtre j'écoute la pluie pleurer ses larmes.

Doucement, sa fureur se soumet et s'apaise enfin,

Elle n'est plus qu'un murmure alors et se calme,

quand l'éclaircie fait cesser ses pleurs sur le chemin.


23 septembre 2024

Anagramme no 3 chez Nanou

 

Nombreuses
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Mes anagrammes.
Semeurs, meneurs, sombres, muses, sermons,
soumis, brumes, nombreux, ruses, berne.
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Les nombreux semeurs de la discorde,
de sermons et ruses nous désaccorde !

Ils nous veulent soumis ces meneurs,
se targuant de sombres lois en dictateurs !

Leur muse en berne dans les brumes,
de leurs mots politisés ils nous enfument !

Le titre en décoration est une phrase que je dis souvent pour rire à mes enfants !

17 septembre 2024

Atelier no 15/ 24 chez Maridan

L'atelier chez Maridan no 15/24.

La ronde des Mots

Course, grandir, désormais, réciter, progresser, explications,

aventures, subir, salle, entourée.

*********


Mes principes

Désormais, l'aventure s'arrête là !
Je ne fais pas dans ma vie privée la course aux amis !
Je ne tiens pas plus que cela à faire salle comble aux portes de l'amitié !
Pas plus offrir des explications données à la première rencontre !
L'hypocrisie ne fait pas grandir !
Elle ne sert qu'à faire progresser les faux semblants, les non dits, les rumeurs; 
Et cela je ne veux en aucun cas ,
 le subir.
Je ne veux pas être entourée par de la fausseté ou des mensonges.
Je ne vais pas non plus réciter de larmoyantes excuses pour ma franchise 
Adieu donc ces amis qui n'en étaient pas.


16 septembre 2024

Le mot mystère chez Lilou


Les lettres sont; AAEIOGTTTLCMS
J'ai trouvé Cataglottisme.
*****
Mes anagrammes sont;
Glace, aigle, agace, actes, malice, éclat, totale.
Mascotte, toilettes, stalactite.

***
Le séducteur

Le gars au regard d'aigle si beau qu'il agace les moins beaux, scrute avec un
éclat d'avidité la belle secrétaire de l'agence de voyage.
Elle reste de glace à ses œillades appuyées.
Le gars qui se croit irrésistible ne ne laisse pas décontenancer !
Pendant qu'elle s'occupe de ses clients, il se déplace vers les dépliants de voyage.
La démarche élégante, un peu provocatrice, genre suis moi aux toilettes !
Il la regarde en coin, elle se dérobe à son regard.
Celle là, il me la faut pense t-il.
La résistance il aime ça !
Il va lui faire sa totale  des actes de séduction !
Sure qu'elle va craquer ! Elle sera sa mascotte celle çi !
Avec malice il s'approche, son tour est venu.
Il s'apprête à lui parler lorsqu'une autre femme, très belle aussi entre dans l'agence.
La secrétaire le plante là aussitôt, se lève comme s'il n'existait plus.
La secrétaire prend dans ses bras la belle femme et lui pratique
du Cataglottisme à faire rougir les prudes !
Le gars, interloqué se trouve bien déconfit !
Qu'est ce qu'il croyait ?
 Que ses yeux d'aigle allaient la faire tomber telle une stalactite ?
Comme quoi, il ne faut jamais se fier aux apparences !

15 septembre 2024

Atelier 245. Le tueur en série. Chapitre 5.

  

Chapitre 5 et Fin.

https://ghyzou.blogspot.com/2024/07/atelier-241-le-tueur-en-serie-chapitre-1.html

https://ghyzou.blogspot.com/2024/08/atelier-242-le-tueur-en-serie-chapitre-2.html

https://ghyzou.blogspot.com/2024/08/atelier-243-le-tueur-en-serie-chapitre-3.html

https://ghyzou.blogspot.com/2024/09/atelier-244-le-tueur-en-serie-chapitre-4.html

Sujet 1.Fracas, fureur, curieux, affaire, réagir, coup.
Sujet 2. Dernier, effort, combat, pluie, rendre, informer.


Atelier 245. le tueur en série. chapitre 5

La confrontation était inévitable. Tandis que les pas se rapprochaient, j'enfonçai les documents et les photos dans mon sac, prêt à tout pour révéler la vérité. La porte de la grange s'ouvrit avec fracas, laissant apparaître la silhouette imposante du chef de la police. Son regard, habituellement calme et autoritaire, était cette fois rempli d'une fureur glaciale.

"Je savais que tu étais trop curieux," lança t-il avec un sourire méprisant.
 "Tu aurais dû laisser cette affaire là où elle était."

Je me tenais droit, malgré la peur qui nouait mon estomac. "Tout est fini pour toi. J'ai des preuves de ta culpabilité. Les gens sauront enfin la vérité."

Son sourire s'élargit. "Des preuves? Crois tu vraiment que tu sortiras vivant d'ici pour les montrer?"

Avant que je puisse réagir, il se jeta sur moi. Nous luttâmes férocement dans la poussière de la grange, chaque coup résonnant comme un écho de la violence et de la trahison qui avaient marqué cette affaire. Il était plus fort, mais la détermination me donnait une énergie désespérée.

Dans un dernier effort, je parvins à lui asséner un coup sur la tête avec le coffre en fer, le mettant hors de combat. Haletant, je me relevai, les mains tremblantes. Il était inconscient, mais il ne resterait pas ainsi longtemps. Il me fallait agir vite.

Je courus hors de la grange, les documents précieux serrés contre moi. La pluie battait toujours, mais cette fois, elle semblait purifier le village des ombres qui l'avaient si longtemps hanté. Mon objectif était clair : je devais me rendre au commissariat, informer les autorités supérieures et exposer la vérité.

Le trajet fut un brouillard de peur et de détermination. À chaque coin de rue, je m'attendais à voir surgir le chef de la police, prêt à me faire taire pour toujours. Mais la chance me sourit ce soir-là. J'atteignis le commissariat et demandai à voir le commandant régional.

Une heure plus tard, entouré de policiers et avec le chef de la police en menottes à côté de moi, je présentai les preuves accablantes. Les photos, les lettres, les plans de crime — tout indiquait clairement que L'Ombre n'était autre que cet homme en qui tout le village avait eu confiance.

L'effet fut immédiat. Une enquête fut lancée, et les preuves accumulées conduisirent à l'inculpation du chef de la police pour manipulation, conspiration et meurtre. Le village tout entier fut secoué par la révélation. Les habitants, longtemps terrifiés par le Messager, réalisèrent que la véritable menace avait été parmi eux, déguisée en protecteur.

Quant à Jack Chelou, il fut réévalué. Bien qu'il eût commis des crimes, l'ampleur de sa culpabilité fut réduite en raison de la manipulation dont il avait été victime. Sa sentence fut commuée, et il fut transféré dans un centre spécialisé pour recevoir l'aide dont il avait besoin.

Pour ma part, cette aventure me laissa avec un sentiment de devoir accompli et de profonde tristesse. Le village avait perdu son innocence, mais avait gagné en vérité et en justice. La pluie cessa finalement, et un nouveau jour se leva sur un village décidé à reconstruire sur des bases de confiance et de transparence.

Le mystère de L'Ombre et du Messager fut résolu, mais les cicatrices demeureraient pour toujours. Pourtant, dans ce monde de secrets et de trahisons, la vérité avait triomphé. C'était une petite victoire, mais une victoire tout de même, une lumière dans les ténèbres.

11 septembre 2024

Valse no 5 Chez Nanou



Sous le ciel bleu de mon enfance,

Je courais, libre, cœur en errance,

Dans les chemins pleins de cailloux,

avide d'aventures, des jours doux.


La nature était ma compagne,

Ses murmures aux creux des montagnes

Chantaient à mon oreille légère,

Le vent portait leurs mots sincères.


Je buvais l'eau des rivières claires,

Goûtant la vie, insouciante, fière.

Les rires éclataient comme des fleurs,

Écho vibrant de nos bonheurs.


Aujourd'hui, devenu plus vieux,

Je ferme les yeux, rêve un peu,

Et dans l'éclat de ces souvenirs,

Je revis ces moments de plaisir.


05 septembre 2024

Défi 288 chez les croqueurs de Mots

 Je vous donne une liste de 50 mots, dans laquelle vous pouvez utiliser 

autant de mots que vous voulez, minimum 10 mots.

Vous les glisserez dans une conversation chez l'avocat, au confessionnal, chez le docteur, avec les professeurs, à la banque, dans un restaurant 3 étoiles ... tout ce qui vous passe par la tête, mais ça doit être dans des lieux et avec des personnes où l'on utilise pas ce registre de langue 😏

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1. une boîte = une entreprise 

2. le boulot = le travail  3. taffer = travailler 4. une caisse = une voiture 

5. un bouquin = un livre . bouquiner = lire 

6. des pompes = des godasses = des chaussures

7. le fric = le pognon = l'oseille = la thune = le blé = l'argent

8. la bouffe = la nourriture 9. le pinard = le vin 10. une clope = une cigarette 

11.  une baraque = une maison 

12. le bordel = le bazar = le désordre 13. un mec = un gars = un type = un homme

14. une meuf = une nana = une gonzesse = une femme 15. le pif = le nez 

16. les tifs = les cheveux 17. la gueule = la tête, le visage 

18. le bide = le ventre19. un(e) pote = un(e) ami(e) 

20. paumer = perdre 21. péter = casser.

22. râler = se plaindre 23. piquer = voler 

24. (se) planquer = (se) cacher 25. piger = comprendre 

26. se gourer = se tromper 27. mater = regarder

28. choper = prendre, attraper (1) OU séduire quelqu'un (2)

29. kiffer = aimer 

30. avoir la trouille = flipper = baliser = avoir peur

31. avoir la dalle = avoir faim 32. chouette = agréable, super

33. un frangin = un frère 34. un gosse = un môme = un enfant 

35. les darons = les parents 36. vachement = beaucoup ou très 

37. blindé = pété de thunes = très riche 38. chelou = bizarre 

39. chiant = ennuyeux (pour une chose ou une personne) 

avoir marre de quelque chose 41. un flingue = une arme à feu 

42. des fringues = des vêtements 43. taré = dingue = ouf = fou 

44. une teuf = une fête  45. tiser = boire de l'alcool 

46. se prendre/se mettre une cuite = boire trop d'alcool 47. vénère = énervé.

48. un flic = un policier 49. un costard = un costume 50. crade = sale 

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Lettre à Monsieur le directeur des Impôts

Monsieur,

J'ai pas d'boite à moi !

Je n' taffe plus, j'ai une vieille caisse, j'ai pas d'baraque à moi !

La tune de ma retraite est aussi molle qu'un ver de terre !

J'ai donc pas d' pognon à gogo dans mes fouilles !

J'dois compter chaque épi de blé qui sort d'mon morlingue pour bouffer !

J'bois plus d'pinard,

j'fume plus d'clopes !

C'est le bordel dans mon budget !

Mon mec a tant trimé qu'il est sur le rotules à 68 ans, du coup, il a pris

un bide de glandeur au mois !

Ceci dit j'avais pas aller piquer chez les autres ou chourer aux magasins !

Mais j'pige pas qu'après avoir taffé toute ma vie, j'me r' trouve avec une misère mensuelle

alors que Messieurs ces députés sont payés une dinguerie pour

dormir sur leur siège ! C'est vrai que faire des lois à la con c'est chiant !

Ma lettre c'est pour vous dire que vous vous êtes surement gourré quelque part !

Ou alors vous avez tant la dalle aux impôts que vous taxez même un sans abri !

Je sais ! Vous allez me baver que c'est pas vous !

Que vous suivez les ordres ! De près car vous êtes miro c'est sur !

Mais quand même Monsieur le directeur des impôts, c'est bien vot' faute si vous voulez

me faire casquer une taxe foncière d'un château alors que j'suis locataire

dans un Hlm !! Y'a de quoi se flinguer avec vous hein !!

Achetez moi le fusil, je paye les cartouches c'est moins cher !

Ah les perles de votre administration, faut se les coltiner grave j'vous le dis.

Allez va !! J'vous fais pas la gueule, j'vous retourne la taxe.

Et j'vous dis pas à la revoyure hein , mon pauvre , je ne suis même pas imposable !

Je ne vous salue pas Monsieur.

04 septembre 2024

Le jeu anagramme de septembre chez Nanou

 Chez Nanou les Homonymes de Septembre

Bal, Bâle, bale, balle.

Au bal de Bâle, Laurette reçue une balle de graminées au visage.
Allergique aux Bales, elle se retrouva, coincée aux urgences !

Balades, air, marche, foret, chienne, pur, montagnes

Des que l'on part en balade, avec Kaly notre petite bichon maltaise,(14 ans)
c'est vers la foret que nos pas nous mènent, avec au loin, la vue sur nos montagnes
des alpes maritimes.
La marche , le bon air pur c'est si bon pour le corps et l'esprit.
Tant que nos corps nous le permettront, on le fera car c'est une source de joie
et de bien être pour nous.

03 septembre 2024

Atelier 244. Le tueur en série. Chapitre 4

Sujet 1. Texte sur le thème "" Secret ""

Sujet 2.  Texte avec des mots se terminant par "" aille ""

Sujet 3 image




Alors que je marchais sous la pluie battante, une trouvaille incroyable me revint en mémoire, quelque chose que j'avais presque oublié dans la hâte de quitter la maison de Jack. Une autre lettre, plus petite, était restée coincée entre les pages du journal. Je m'arrêtai sous un réverbère, tirant la lettre de ma poche pour l'examiner de plus près. Elle était adressée à "L'Ombre", écrite de la main tremblante de Jack.

"Mon cher mentor," commençait elle, "les mailles de votre filet se resserrent autour de moi. Je sens la menace, la bataille invisible que vous menez pour m'écraser sous votre emprise. Vous avez fait de moi un monstre, mais sachez que je possède un secret qui pourrait tout détruire. Dans l'ancienne grange, sous la botte de paille la plus grande, se trouve la preuve de votre véritable identité."

Mon cœur s'emballa. Une grange ! Cela pourrait être la clé pour démasquer L'Ombre. Je me mis en route vers la périphérie du village, là où se trouvait l'ancienne ferme abandonnée. La pluie continuait de tomber en mitraille contre mon parapluie, ajoutant à l'atmosphère sinistre de cette nuit.

Arrivé à la grange, j'entrai avec précaution. L'obscurité était oppressante, mais je ne pouvais pas me laisser distraire. Je me dirigeai vers une botte de paille de taille imposante, la plus grande de toutes. Après quelques efforts, je la déplaçai pour révéler une trappe en bois dissimulée en dessous.

Sous cette trappe, je découvris un petit coffre en fer. L'ouvrant avec précaution, je trouvai des documents et des photos d'une importance capitale. L'Ombre, le manipulateur, n'était autre que le chef de la police locale, un homme respecté et au-dessus de tout soupçon. Les preuves étaient accablantes : correspondance secrète, photos compromettantes, et des plans détaillés des scènes de crime.

Ma découverte déclenchait un mélange de joie et d'horreur en moi. Joie de savoir que j'étais sur la bonne voie, et horreur en réalisant l'ampleur de la trahison et de la manipulation. Le chef de la police avait utilisé Jack comme un pion, se servant de son influence pour orchestrer une série de meurtres et semer la terreur, tout en restant au-dessus de tout soupçon.

Il était maintenant clair que Jack Chelou, bien qu'impliqué, n'était pas le véritable monstre. L'Ombre avait manipulé chaque aspect, tirant les ficelles dans l'ombre pour satisfaire ses sombres désirs.

Soudain, j'entendis des bruits de pas autour de la grange. Le chef de la police, probablement alerté par ma présence, se dirigeait vers moi. Une bataille semblait inévitable. Mon cœur battait la chamade alors que je me préparais à l'affronter, armé de la vérité et des preuves en ma possession.

A suivre....
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