15 octobre 2024

Mon texte atelier 247.

Atelier 247.

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Tentation, mission, essai, test, obscure, savoir, maintenant, pourquoi, hélas, présent, agir, faire, noble, néanmoins, nulle, nombreux, nette.

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  Le message anonyme

La ville était obscure, les ruelles étaient plongées dans une brume opaque, l'homme voulait résister a la tentation mais c'était plus fort que sa volonté hélas.

L'inspecteur Pierrick Mandal, menait sa mission. Un meurtre avait eu lieu dans une vieille maison abandonnée, sans aucun témoin ni indice apparent. Le deuxième de ce mois dans les mêmes circonstances sans que l'on sache pourquoi évidemment.

Seule une information anonyme lui permettait d'être là, avec Madison à suivre cet homme maintenant.

Le message disait ; cette nuit suivez l'homme qui sera tapi dans l'ombre,

 au niveau de la rue droite, dans le vieux Nice.

Depuis des mois, chaque piste semblait nulle, chaque essai de reconstitution des faits échouait, laissant Pierrick face à de nombreux doutes. Pourquoi le meurtrier n'avait-il laissé aucun indice ? Était il un génie du meurtre ?

Chaque essai de théorie ne correspondait pas.

Néanmoins, une chose était nette pour l'inspecteur : l'assassin était toujours présent, et avait déjà commis deux meurtres atroces. Laissant ses victimes mutilées et violées.

La pression montait à la brigade.

Madison Verrand, sa collaboratrice et désormais compagne, surveillaient donc cette nuit la rue suite au message reçu !

Ils auraient aimé pouvoir agir et faire boucler ce tueur mais pour le moment les tests n'avaient pas abouti. Leur noble métier comportait souvent des déceptions mais aussi des victoires et c'était cela le plus important.

 Soudain, une ombre se dessina sous le réverbère du coin de la rue. On voyait nettement la silhouette d'un homme, grand, capuche sur la tête, qui longeait le mur. Il stoppa devant une maison, et sans vraiment forcer ouvrit la porte et entra.

Madison et Pierrick le suivirent aussi vite sans faire trop de bruit. Mais l'homme ne pouvait pas  les entendre bien trop occupé a bâillonner sa victime à moitié endormie dans son lit.

Quelle récompense de l'avoir enfin alpagué !

Ils se regardèrent fièrement et firent venir le reste de l'équipe pour les constatations.

En garde à vue, Pierrick et Madison apprirent que c'était lui qui avait envoyé le message anonyme ! 

Il voulait se faire arrêter car il n'arrivait pas à maîtriser ses pulsions.

Mais cet aveu n'empêchait pas que c'était un monstre qu'ils venaient d'arrêter !!

 

5 commentaires:

  1. Drôle de façon de se justifier, il ne pouvait pas arrêter ses pulsions.
    Je crois que cette fois il va devoir les calmer en prison.
    Bonne journée.

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  2. Mettre un frein à ses propres pulsions, je vais dire plus que sage décision, pensons aux victimes de ces moeurs débridées.... amitiés, jill

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  3. Il doit pas y en avoir beaucoup des gens comme lui qui se dénoncent, il a quand même 2 meurtres à son actif!
    Belle journée
    bises

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  4. Et un malfrat de plus de bouclé, Ghislaine…
    Mon atelier 247 est prévu paraître vendredi prochain.
    Je t'enverrai le lien quand il sera publié.
    Bises et bonne soirée - Zaza

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  5. Chère coquine Ghyzou, que te dire sinon que tu as parfaitement répondu à l'atelier proposé par notre chère animatrice Ghislaine qui a dû, n'en doutons pas, être guidée par tes jolis mots témoignant de la valeur de ce texte version polardisée, que dis-je aux trilles... angoissantes... façon thriller... Ouf, un fou de moins mais celui-ci est moins méchant que la plupart puisqu'il s'est condamné lui-même ! De gros bisous ma Ghyzou, portez-vous tous et toutes bien, clin d'oeil à Séverine... tendre amitié.

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