31 juillet 2024

Atelier chez Nanou no 96



 ATELIER CHEZ NANOU NO 96


chambranle de la porte - un voile gris - chaussures mouillées - à la manière de - à qui tout est dû - ce ne fut pas le cas - autrement dit.

et patati et patata ! - lendemain – gouvernail – lentement – pamplemousse.

Thème : ARGENT

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Le retour du Marin


Des chaussures mouillées, collées au chambranle 

de la porte en position verticales attira mon regard quand elle rentra chez elle.


Un pamplemousse entamé trainait sur la table de la cuisine.

Un voile gris était posé sur la lampe de chevet, comme pour tamiser la chambre à la manière de bohème.


Ce n'était pas ainsi qu'elle avait laissé la maison !

Mais qui donc était entré ?

Ils ne sont pas cinquante à avoir la clé !


Autrement dit c'est quelqu'un de la famille à qui tout est dû pour s'installer ainsi et alors elle sourit !

Autrement dit, un seul peut arriver comme ça sans prévenir.

Elle fila dans la chambre après s'être mis à l'aise elle savais qui trouver, allongé sur le lit ! 

Mais grands dieux non ! Ce ne fut pas le cas !

Lentement elle regarda l'homme endormi, celui qui pour rien au monde ne quittait son gouvernail était là ! En chair et en os son fils marin rentrait au bercail !

Ce n'était pas son frère à qui elle pensait, mais lui le voyageur des mers.


Il se réveilla et après les gros câlins d'usage et d'amour,

le voilà parti à raconter ses péripéties ! Et patati et patata.. Le lendemain il en parlait encore à son père.


Il raconta comment ses camarades et lui avaient transporté un ministre avec sa mallette en argent

pour le déposer au port d'un autre pays..


Son marin de fils en avait des histoires à raconter quand il venait…  Ce qui arrivait peu… Il voyait plus souvent des ports et la mer que ses parents mais ainsi est la vie

et tant qu'il est heureux, ils sont contents.

(Fiction)

26 juillet 2024

Jeu no 1 chez Nanou. Anagramme.

 


Un clik sur le logo pour participer


Jeu anagramme chez Nanou no 1

Atmosphère, étapes, épate, portes, poète,

 promet, temps, trame, tomes, armes

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Le poète

Sous la lueur douce d'un ciel améthyste,

Un poète brillant trace son chemin,

À chaque pas, chaque vers, il persiste,

Dans la trame du temps, il tisse son destin.


Aux portes des rêves, il frappe sans crainte,

Avec des mots comme des armes en main,

Il promet des merveilles, des épates teintées,

Dans l'atmosphère calme du matin serein.


Les tomes qu'il écrit sont des trésors de lumière,

Pour les autres poètes, il est un phare,

Un guide, une étoile dans la nuit claire,

Éclairant le chemin de ceux qui veulent croire.


Chaque étape franchie, chaque rêve conquis,

Est un hommage aux muses qui l'inspirent,

Son talent, une flamme qui jamais ne faiblit,

Dans l'infini du temps, il continue de luire.


23 juillet 2024

L' atelier chez Nanou no 95 et la valse des mots no 3.

 


Proposition no 95

PROPOSITION 95 CHEZ NANOU

Depuis sa vigie chamoniarde - un revers de main - à bout de souffle - au plus vite - des vases communicants - poste de garde - c’est ridicule.

antichambre – réflexion – amnésie – timbre – formulaire.

Thème. Ville


Le garde Barrière de la vallée du Paillon


Depuis sa vigie chamoniarde, perchée à flanc de montagne, Gabriel veillait sur les trains comme un berger sur son troupeau. Chaque jour, le poste de garde était son refuge, une antichambre de la vie trépidante des voyageurs. Il observait, inlassable, ces allers et venues, des vies entières se croisant en un clin d'œil sur les rails argentés.


Gabriel n'avait jamais quitté cette montagne. Sa vie entière se résumait à ce poste, à ces rails, à ce souffle de vie qui animait son quotidien. Son grand-père, son père avant lui, avaient été gardes-barrières. C'était une tradition familiale, un héritage qu'il chérissait, malgré l'isolement et la rudesse de l'hiver. Il se disait parfois que c’était ridicule de rester ainsi, attaché à un poste si humble, mais chaque train qui passait rappelait à Gabriel l'importance de sa mission.


Un matin, alors que le soleil se levait sur les cimes enneigées, une réflexion s'imposa à lui. Que se passerait-il s'il n'était plus là ? Les trains continueraient ils à circuler comme des vases communicants, transportant les espoirs et les rêves des voyageurs ? L'idée de son absence lui parut soudain insupportable. Mais ce matin-là, quelque chose était différent. Le timbre de la cloche résonnait plus fort, et un formulaire important, venu de la ville, l'attendait sur son bureau : une demande de transfert.


Gabriel souffla un coup, son esprit embrouillé comme frappé d'amnésie. Il avait toujours su que ce jour viendrait, mais le voir écrit noir sur blanc était un choc. Il signa le formulaire d'une main tremblante, chaque lettre résonnant comme un adieu à une partie de lui-même.


L'hiver s'installa, et avec lui, les tempêtes. Un soir, alors qu'il fermait la barrière, un dernier train s'annonça. Les vents hurlaient, les flocons tourbillonnaient, et Gabriel, à bout de souffle, courut au plus vite vers sa vigie. Il savait que ce serait son dernier acte en tant que garde-barrière.


Il leva la main, un geste qu'il avait fait des milliers de fois, mais cette fois, avec une émotion poignante. Le train passa, emportant avec lui les histoires des passagers, laissant Gabriel seul, les yeux embués. Il ferma la barrière, une dernière fois, un revers de main qui marquait la fin d'une époque.


Alors que les lumières du train s'estompaient dans la nuit, Gabriel quitta son poste de garde, la montagne entière semblant retenir son souffle. Sa mission était terminée, mais il savait que la vie continuerait, chaque fin marquant un nouveau début.


Dans le silence de la montagne, il se dit adieu, marchant vers la ville, le cœur empli de souvenirs et de regrets, mais aussi d'une certaine paix. La vie était un long voyage, et il était temps pour lui de découvrir ce qu'il y avait au-delà de sa vigie chamoniarde.

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La valse des Mots no 3

Hommage à Anastasia, la reine des tubes de vaches.


Étoile – Rêve – Mystère – Voyage – Liberté – Harmonie – Espoir – Passion.


Elle avait rêvé d'harmonie et d'espoir.

Mais son rêve est mort au lever du soleil.

Les étoiles n'ont pas été pour elle ce soir.

La passion de sa liberté est en veille.


Elle aurait voulu un beau voyage

Elle aurait voulu un peu de mystère.

Mais la fin rode dans son sillage.

Elle a perdu cette fois la guerre.


Doucement elle se laisse aller

Doucement elle s'endort enfin.

Elle ne souffre plus mon aimée.

Je repense à elle, à nos chemins.


Sept années que tu es partie, Ella,

Je ne t'oublies pas. Ton rire je l'entends.

Je pense si souvent à toi, Anastasia,

Dans mon cœur tu vis au présent.


Ella c'est ici



20 juillet 2024

Atelier 241. Le tueur en série. Chapitre 1.

 

Sujet 1. Messager, nouvelle, confession, aveu, passage, délai.

Sujet 2. Sauvages, naturelle, lettre, longue, écrire, lire.

Sujet 3. Texte avec des mots commençant par ""J ""

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Chapitre 1.


Un tueur en série avait sévi, semant la terreur. Les médias lui avaient donné le surnom de "Le Messager" à cause des lettres qu'il laissait sur les lieux de ses crimes. Ces lettres, toujours longues et détaillées, racontaient ses actes avec une froideur naturelle mais sauvage. Le journal local relayait chaque nouvelle, et la peur s'installait au village.


Un jour, une lettre arriva au commissariat. Elle était différente des autres, portant non seulement des aveux, mais aussi une confession directe : le Messager révélait son identité. 

Il s'agissait de Jack Chelou, un résident du village.

 Il expliquait ses motivations, ses méthodes, et la satisfaction malsaine qu'il éprouvait à chaque meurtre.

Le délai entre la réception de la lettre et l'arrestation de Jack fut court. Les jurés furent choqués de lire au procès la confession lors du procès. 

Le juge, un homme d'expérience et de fermeté, écouta chaque passage de la lettre, pesant chaque mot avec soin. Il prit le temps d'écrire un jugement exemplaire, détaillant la cruauté des actes du meurtrier et l'impact sur la communauté. 

Le verdict fut sans appel : 

Il fut condamné à la perpétuité, sans possibilité de libération conditionnelle. Justice avait donc été rendue mais à jamais cette histoire resta dans les mémoires et encore plus de soixante après, je vous en parle encore !

Cependant , moi je me pose une seule question ?

Alors que rien ni personne ne le soupçonnait, pourquoi se dénoncer ? 


Affaire à suivre….


19 juillet 2024

Atelier chez Maridan no 13/2024. ***Ronde des mots.***

Sujet 11
Vendeur, étage, affirment, fondement, assemblée, fermer, verser, entendre, fortune, déconcerter.
Cliquez sur le logo si vous souhaitez voir les sujets et le règlement.
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Le vendeur de bas étage.


Il avait certes, des grands talents de vendeur hors normes et une habileté à déconcerter ses victimes, il vivait de l'art de manipuler les femmes fortunées. Il les rencontrait, les séduisait, les épousait, et ensuite les tuait pour en hériter. Ce mode opératoire bien huilé lui permettait de monter d'un étage social à chaque nouvelle victime. Il avait pignon sur rue et possédait plusieurs appartements qu'il louait.


Pourtant, son ultime tentative se révèle être sa chute. Il fit la connaissance d'une charmante femme lors d'une assemblée mondaine. Ce qu'il ignorait, c'est qu'elle était inspecteur de police sous couverture, enquêtant précisément sur ce type de crimes. Lorsqu'il tente de l'épouser et de mettre en œuvre son plan macabre, elle réussit à le démasquer avant qu'il ne puisse verser la moindre goutte de poison dans son verre


Lors de son arrestation, de nombreuses femmes, leurs familles et les autorités affirment qu'elles avaient entendu des rumeurs sur ses activités criminelles. Cependant, sans preuve concrète, elles n'avaient pu agir auparavant. Le fondement de son stratagème, basé sur le charme et la manipulation, s'effondra lorsqu'il se heurta à l'intelligence et à la vigilance de cette inspectrice qui elle n'avait aucune fortune mais l'avait laissé croire et entendre à qui voulait.


Finalement, l'homme fut arrêté et jugé. La justice a pu fermer ce dossier et ce criminel pourri en prison.

 


15 juillet 2024

Défi chez Nanou no 94. ""Je l'aurais, je l'aurais ""

 PROPOSITION NANOU NO 94


Phrases : faire la bombe - tirer des plans sur la comète - yeux

de merlan frit - mordre la poussière - des clous ! - y aller franco - c’est la fin des haricots.

Mots ou expressions : carnage – atmosphère - un panier percé - faire la mijaurée – tronçons.

et/ou Thème : HAINE


"" Je l'aurais, je l'aurais ""

Quand je lui exposai mon idée, il fit des yeux de merlan frit.

Pourtant j'avais mis du temps à tirer des plans sur  la comète.

Ce n'est pas pour des clous que j'ai fait faire la bombe à mes neurones !

Mais lui, il y va franco de ses rires de moquerie !

C'est la fin des haricots ! Je ne suis pas comprise !

Que nenni, je vais lui faire mordre la poussière à ce Chamallow ! 


Je vais lui faire un carnage !

L'atmosphère va changer je te le dis bouffon !!

Non je ne fais pas ma mijaurée du tout d'abord !

Comment je suis un panier percé !!

Tout ça parce que je veux dépenser quelques euros !

Ah c'est sur !! C'est pas toi qui voudrait t'enrichir l'esprit !

Tu préfère t'enfiler des tronçons de saucisson dans la panse !

Oui Monsieur ! Moi je me nourris l'esprit vois tu !

Non mais que des histoires pour que je puisse m'acheter

un livre de rimes !


***Défi no 84 chez An'Mai***




 Dans l'ombre des journées toutes en subtilité,

les écrits se cherchent, avec plein de complicité.

La passion du partage éclot en célébration,

Sur les blogs, nos mots tissent une connexion.


Appartenir à ce monde où le cœur se livre,

c'est être un peu dingue, c'est vouloir vivre,

précisément dans l'instant, sans fausse note,

là où l'amour du don, tout doucement, flotte.


Dans un ballet trépidant de rires et de larmes,

virevoltant sur les écrits, portées par cette flamme,

sur les pages virtuelles, nos idées s'enflamment,

et se partagent, allégrement, en doux sésames.


Les blogs deviennent des ponts, des lieux d'échanges,

où l'on peut arracher les barrières, sans mélange,

depuis longtemps, ils nous rapprochent et nous lient,

dans cette célébration, nos âmes unies, épanouies.


Alors, partageons cette folie douce et intense,

où chaque post, chaque commentaire, a du sens,

Et dans cette ronde subtile et pleine de grâce,

La passion du partage, à jamais, nous enlace.


09 juillet 2024

***Le Défi Image 30 chez An'Mai***



Mon ressenti sur l'image 30



Dans les cieux vastes et silencieux,
là où les nuages tissent des rêves,
se dresse une porte en bois mystérieux,
que la brise céleste doucement soulève.

Elle flotte entre les voiles d'argent,
comme un mirage dans l'éther bleuté,
ses gonds chantent un air apaisant,
aux étoiles, elle semble murmurer.

Cette porte en bois, d’un autre temps,
est gravée de secrets et de sagesse,
chaque nœud raconte un printemps,
chaque fissure un conte de tendresse.

Lorsqu’elle s’ouvre avec grâce,
sous la caresse d’une main invisible,
un lac apparaît, serein et tenace,
d'un éclat lunaire, pur et indicible.

Les eaux miroitent, calmes et profondes,
sous l'œil bienveillant de la lune,
révélant des mystères du monde,
dans une danse lente et opportune.

Les nuages se teintent d’ombres douces,
révélant l’immensité de la nuit,
et la porte en bois, telle une source,
s'ouvre sur des rêves infinis.

Les flots argentés racontent des aventures,
de mondes oubliés et de cœurs liés,
où la lune veille, silencieuse et si pure,
sur ce lac d’éternité figée.

Ainsi, la porte dans les nuages demeure,
gardienne des songes, des âmes égarées,
une invitation à la douce lueur,
à plonger dans l’inconnu, sans se retourner.


08 juillet 2024

Atelier chez Nanou no 93

 


L'atelier chez Nanou no 93

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La rencontre inattendue.


Dans les rayonnages de la bibliothèque, où les livres se succèdent de place en place, une étrange bousculade fit tomber Marie dans les bras d’un inconnu. Leurs regards se croisèrent et, pendant un bref instant, le temps sembla suspendu.


"Je suis désolé," murmura-t-il, les joues rougissant légèrement. "Je ne vous ai pas vue."


Marie, encore sous le choc de cette rencontre, sentit une vague d'émotion la submerger. "Ce n'est rien," répondit elle, tentant de retrouver contenance. "C'est un étrange moment, n'est-ce pas ?"


L'homme hocha la tête, un sourire timide aux lèvres. "Oui, très étrange. Permettez moi de me présenter, je m'appelle Antoine."


"Marie," répondit elle, en esquissant un sourire.


Ils restèrent ainsi, quelques secondes en silence, entourés des livres qui semblaient les observer avec bienveillance. Antoine rompit le silence le premier, ses yeux brillants de curiosité.


"Vous cherchez quelque chose en particulier ? Peut-être puis-je vous aider ?"


Marie hésita un instant avant de répondre. "En fait, je recherchais un livre sur l'exclusion sociale. Je fais des recherches pour mon mémoire."


"Intéressant," répondit Antoine, ses doigts glissant sur les tranches des livres à la recherche de celui qu'elle convoitait. "L'exclusion sociale est un sujet complexe et souvent illusoire dans ses solutions. 

Permettez moi de vous aider."


Ils parcoururent ensemble les rayonnages, échangeant des mots et des idées, se rapprochant peu à peu. Antoine trouva enfin le livre et le tendit à Marie.


"Merci," dit-elle, les yeux brillants de gratitude. "Je vous en supplie, acceptez mon invitation à prendre un café. C'est le moins que je puisse faire pour vous remercier."


Antoine accepta avec plaisir, et ils quittèrent la bibliothèque côte à côte. Ce jour-là, une simple bousculade se transforma en une rencontre pleine d'émotion, où deux âmes se trouvèrent au milieu des livres, se découvrant et partageant une langue commune faite de respect et de curiosité.


Plus tard, en discutant autour d'un café, Marie mentionna une citation qu'elle avait lue dans l'un des livres de la bibliothèque. Antoine, amusé, répondit : "Parfois, il faut prendre les choses au pied de la lettre pour en saisir toute la profondeur." Ils échangèrent un sourire complice, conscients que leur rencontre elle-même avait une profondeur qu'ils étaient encore en train de découvrir.





02 juillet 2024

Liste 83 chez An'Mai

 Liste no 83 chez An'Mai

https://defisetmoidanmaimistic.blogspot.com/

http://lesdefisdanmai.eklablog.com/


Tourbillon, découler, beaucoup, profondeur, vice-versa,

 expérience,  populaire, seulement, 

remporter, musique.


Déménagement.


En route pour le tourbillon du changement de plateforme, sous fond de musique populaire !

On cherche, on tâtonne, on trouve des trucs par soi même

 ou avec l'aide de généreux blogs d'aide.


Parfois il faut aller en profondeur dans les codes Ccs ou Html, pas facile pour les novices,

mais il en découle souvent quelque chose de bien.

L'expérience est belle dans la découverte, 

seulement il y a des points négatifs comme partout

et vice et versa !


J'aime beaucoup la nouvelle plateforme sur laquelle

 j'ai prévue d'atterrir si la migration ne me convient pas. 

J'en connais qui remportent le pompon !! Certains blogs sont magnifiques.


En avant pour le changement, ou pas ???



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