31 août 2024

Atelier chez Nanou no 97

- Phrases :

 la conchyliologie - stylos désœuvrés et secs - mine de se lever

 - un chocolat chaud - nom d’une pipe - clos et muet - se débarrasser du négatif.

- Mots ou expressions : 

obnubilé – probablement - c’est pas tes oignons ! - soupirer – effiloché.

- et/ou Thème : AVENIR

*************

Mon stylo, désœuvré et sec,

 ne fait même plus mine de se lever.

Mais nom d'une pipe que lui arrive t-il ?

Il reste clos et muet et ce n'est pas son genre !

Que puis je faire pour lui ?

-Ah je sais ! 

Je vais lui donner l'occasion de se débarrasser du négatif 

qui l'habite en ces jours.

Je ne veux pas qu'il soit obnubilé et probablement blessé dans son encre !

Je l'entends soupirer le pauvre ! 

Il se lamente de vérité.

Il se sèche de mots…

Il a la pointe toute effilochée et une sale mine.

Déjà hier je lui demandé ce que je pouvais faire pour lui !

-- C'est pas oignons -- m' a t il répondu sèchement.

Aujourd'hui il est moins récalcitrant mais accepte de 

confier les mots de sa plume à mes oreilles.

Pour retrouver la musique de ses mots, la couleur de son encre, 

la vie de ses mots, il a besoin d'un spécialiste !

Mais avant tout il veut changer la couleur de son habit !

Il veut une couleur de chocolat chaud pour porter sa plume.

 Et le spécialiste vous demandez vous ?

Hé bien, il veut consulter un conchyliologiste.

Il veut de nouveau prendre un peu l'air.

Marcher sur le sable, y dessiner des arabesques mais aussi il veut encore entendre la musique des coquillages de la mer et pour cela, seul le spécialiste sait lesquels font de la musique mélodieuse.

Ainsi fut fait !

Le voilà qui glisse tout heureux et qui laisse son encre remplir la page de cet écrit sans rechigner !

Ouf, que ferais je sans lui !

Mais quand même ce stylo à plume devient de plus en plus exigeant ! 

Mais peu importe il m'a placé les mots que Nanou lui a donné même si c'était assez corsé pour lui !!

On ne va pas le rendre stérile pour cela !

Il a son avenir devant lui à présent.

21 août 2024

Anagramme no 2 chez Nanou

Population. Mes anagrammes.
Lupin; Patou, latino, lopin, loin, option, nuptial, nuit, potin, point,.

Dans la vallée du Paillon, vivaient Lupin et Patou, un couple latino. Sur leur lopin de terre, ils menaient une vie simple, loin de leur pays d’origine. Un jour, Lupin proposa une option à Patou : Un mariage nuptial. Patou accepta avec bonheur. Avoir une famille était son rêve et Lupin avait émit le désir d'enfants.

Ils avaient décidé de se marier une nuit de plein lune et le pasteur du village accepta leur requête. Les villageois, toujours à l’affût du moindre potin, se rassemblèrent. 
À ce point précis, sous la lumière de la lune, Lupin et Patou échangèrent leurs vœux.

Quelques années plus tard, leurs terres ont grandies et leur famille aussi avec trois beaux enfants…

                                                                                           

Atelier Janedeau du 20 Août.

La rupture

Les mots de Janedeau
Grise, furieuse, briser, sans, soleil, tempête, endeuillé, perdu, temps, voix.

Perdue dans le labyrinthe de ses pensées bien grises, elle subissait la tempête furieuse qui l' agitait. Il venait de briser ses rêves, ses espoirs sans regrets.
Sans prendre le temps de lui parler. Il avait laissé sur son répondeur quelques mots de sa voix à l'accent chantant du soleil qui l'avait tant faite craquer.
Elle était endeuillée d'un amour qu'elle croyait vrai, sincère, durable.
Juste ces quelques mots horribles.
" Ne m'attends plus, je ne reviendrai pas, mon avenir n'est pas avec toi ! "

20 août 2024

Atelier 243. Le tueur en série. Chapitre 3.

Chapitre 3

Atelier 243

Preuve, carton, surprise, trouver, démentir, coffre.

 Escalade, colère, éprouver, joie, action, autour.

  lettre, livre, lancer, lourd, long, large.


En quittant le vieux commissariat, je ne pouvais m'empêcher de repenser à ces lettres troublantes de Jack Chelou. Le doute sur sa culpabilité grandissait en moi. Était il vraiment l'auteur de ces crimes atroces, ou n'était il qu'un pion dans un jeu plus complexe orchestré par L'Ombre ?

J'osais alors me lancer dans cette enquête.

La pluie continuait de battre les vitres des maisons que je passais, ajoutant une couche de mystère à mes pensées tourmentées. J'avais besoin de trouver des preuves tangibles, quelque chose qui pourrait soit confirmer soit démentir la culpabilité de Jack Chelou.

Je me dirigeai vers l'ancienne maison de Jack, un lieu que la police n'avait jamais entièrement fouillé, persuadée d'avoir tout ce qu'il leur fallait. En entrant, je remarquai un vieux carton abandonné dans un coin du grenier poussiéreux. Curieux, je l'ouvris avec précaution. À l'intérieur, je trouvai des objets personnels, mais surtout, un lourd livre en cuir, soigneusement caché sous une pile de vêtements.

L'ouvrant lentement, je découvris qu'il s'agissait d'un journal intime, rédigé par Jack lui-même. Les premières pages décrivaient ses rencontres avec L'Ombre, ses émotions et ses doutes. Plus je lisais, plus je ressentais la complexité de leur relation. Jack semblait éprouver une admiration mêlée de peur pour cet homme mystérieux. L'Ombre n'était pas seulement un mentor, mais un manipulateur habile, utilisant Jack pour ses propres fins sinistres.

En tournant une page jaunie, une lettre tomba du livre. Elle était adressée à "Mon cher Jack" et signée "L'Ombre". La lettre détaillait un plan macabre et précis dans l'action prouvant que L'Ombre avait une influence décisive sur chaque action de Jack. Ce document pourrait bien être la clé pour comprendre le rôle réel de Jack dans ces crimes.

Déterminé à en savoir plus, je descendis au sous-sol, où une vieille rumeur parlait d'un coffre caché. Après une longue et minutieuse recherche, je trouvai enfin une petite trappe sous un tapis miteux. En forçant un peu, je parvins à ouvrir le coffre. À l'intérieur, une série de photos choquantes montrant L'Ombre en train de manipuler des scènes de crime. Ces preuves photographiques semblaient indiquer que L'Ombre avait peut-être commis certains des meurtres lui-même.

Tout autour de moi, l'obscurité semblait se resserrer. J'éprouvais un mélange d'escalade de la peur et de colère. Cette découverte mettait en lumière la possibilité que Jack n'était qu'un bouc émissaire, manipulé jusqu'à la folie.

En sortant de la maison, mon esprit tournait. J'avais encore beaucoup de questions sans réponse, mais une chose était claire : Jack Chelou n'était peut-être pas le monstre que tout le monde croyait. La vraie menace, L'Ombre, rodait toujours quelque part autour, dans les ombres de ce village.

Je savais que la prochaine étape de mon enquête allait être dangereuse, mais il n'y avait pas de retour en arrière possible. Il me fallait démasquer L'Ombre et révéler la vérité, quoi qu'il en coûte. Mon cœur battait à toute allure, mêlant la peur à une étrange joie d'être enfin sur la bonne piste d'une belle surprise.

Ainsi, la pluie tombait toujours, et sous ce ciel lourd, je lançai un regard déterminé vers l'avenir. Le long chemin qui s'ouvrait devant moi était large et sinueux, mais je n'étais plus seul dans cette quête. Les ombres allaient enfin dévoiler leurs secrets.

15 août 2024

Atelier no 86 chez An'Mai

 
Cadence, s'élancer, précieux, ensemble, malicieux, 

violemment, alléchante, humeur, déchanter, incroyable 

******************

Il s'éclata violemment comme en cadence après avoir rebondi

 plusieurs fois sur le sol carrelé du salon puis s'étala en mille morceaux de diamants.

Dans un ensemble incroyable, les gouttes d'eau s'élancèrent 

comme une sorte de splash translucide au dessus du sol noir et blanc.

Elle lui avait jeté au visage son précieux vase avec une humeur plus qu'orageuse

 mais il avait eu le tort de se baisser et le vase était allé tutoyer les vitres !

Ah il pouvait bien déchanter à présent ! Il s'était cru le plus malicieux

 des hommes mais n'était en fait qu'un bouffon de pacotille ! 

Il lui avait soumis cette idée comme une alléchante 

proposition qui pour lui renforcerait la confiance de leur amour !

Mais il n'avait vu là que son propre plaisir et ses fantasmes inavoués ! 

Jamais elle n'accepterait !

Comment avait il pu penser une seule seconde

qu'elle allait se déguiser en guenon pour leurs ébats amoureux ?

Ah quel dommage que ce vase ne l'ait pas touché !

Tant pis pour lui, il ramassera et nettoiera !

Elle claqua la porte en sortant…

14 août 2024

Sujet 3

 Faire des rimes avec ces mots;

Dernière, guère/ abreuvé, rêvé/ cerbère, rivière/ fois, rois/ diables, effroyables/

univers, pervers,/ éternelle, elle/ frais , bienfait,/ personnage, apanage/

père, chimères/ néant, vent/ fortuné, né.

*************

***La dernière étoile*** 

Dans la nuit sombre, une étoile dernière,

que l’espoir dans nos cœurs, n’effleure guère,

à nos âmes de tristesse, ont été abreuvées,

cherchant l'éclat d’un songe jamais rêvé.

Comme une onde au seuil de la rivière,

elle se fait gardienne farouche tel un cerbère.

L'éclat de son royaume étincelant cent fois,

là où les hommes ne sont jamais des rois,

mais des âmes perdues, errant comme des diables,

fuyant les ténèbres aux ombres effroyables.

Dans ce vaste et mystérieux grand univers

où le bien se dissout sous le voile des pervers,

et cherche la lumière d’une paix éternelle,

mais se heurte toujours et encore à elle.

Alors que l'aube apporte un souffle frais,

seule lueur dans ce monde sans bienfait,

Il surgit soudain un étrange personnage

Vêtu de sa seule noblesse pour apanage,

Il porte en son cœur la sagesse de son père.

mais ses rêves s'évanouissent en chimères,

face au vide qui l’engloutit, pareil au vent.

il se jette alors dans le tourbillon du néant.

Sans répit, il veut poursuivre son destin fortuné.

Mais il ne voit au fond que l'instant où il est né.


13 août 2024

L'atelier chez Maridan no 14/24.

Pas de panique c'est un hold up 

Sujet 1. Ronde des Mots

Banque, exception, dessin, visite, bafouiller,

collabos, sentiments, gêne, buffet, trottoir.


C'était une journée comme les autres à la banque, ou du moins, c'est ce que je croyais en y entrant pour une visite au guichet de retrait. Tout semblait normal jusqu'à ce que je remarque un petit dessin accroché près du guichet, représentant un étrange personnage au visage masqué. Un détail qui, en temps normal, me serait passé inaperçu, mais qui, ce jour-là, me laisse un sentiment d'inquiétude.

En m'approchant du guichet pour discuter avec la préposée, j'ai remarqué que celle-ci semblait nerveuse. Elle a commencé à bafouiller

"Monsieur... c'est une exception aujourd'hui, nous avons... euh... un petit événement, un buffet, vous voyez..." Son malaise était évident, et cela ne faisait qu'amplifier ma propre gêne.

Soudain, la porte d'entrée s'est ouverte avec fracas, et plusieurs hommes masqués ont fait irruption dans la banque. L'un d'eux s'est dirigé directement vers moi, son arme à la main, pendant que les autres contrôlaient les employés et les clients. Le chef, un homme imposant, a ordonné à tout le monde de se mettre au sol. Il a commencé à donner des ordres, avec une efficacité presque militaire. J'ai entendu l'un d'eux murmurer "collabos", comme s'ils avaient une taupe à l'intérieur de la banque.

Les sentiments de peur et de panique ont envahi la salle. Tout le monde obéissait, tétanisé par la situation. Les braqueurs semblaient avoir tout planifié avec une précision inquiétante.

À travers les vitres, j'ai jeté un coup d'œil sur le trottoir à l'extérieur, espérant y voir une lueur d'espoir. Mais la rue était étrangement vide, comme si tout avait été orchestré pour éviter les témoins.

Le temps s'écoulait lentement, chaque seconde était lourde de tension. Les braqueurs remplissaient leurs sacs de billets, méthodiquement, sans jamais perdre leur calme. Finalement, le chef a regardé sa montre, puis a donné le signal du départ. En un clin d'œil, ils ont disparu aussi vite qu'ils étaient venus, laissant derrière eux une banque vide, des employés tremblants et aucun buffet de prévu pour un soi disant évènement.

Les employés et les clients se sont relevés, encore sous le choc. La guichetière m'a regardée avec un mélange de gêne et de soulagement, avant de se précipiter pour appeler la police.

De retour sur le trottoir, je me suis retourné une dernière fois vers la banque. Ce dessin étrange, cette ambiance tendue... Cet hold-up, orchestré avec une précision glaciale, allait me hanter longtemps.

J'aurais certes préféré un bon buffet de bienvenue 




10 août 2024

Valse no 4 chez Nanou




arbre – rapide - rivière – jouer - inspiration - maintenant – bon - famille. 


La Fête du Cochon


Tout le village était réuni pour la fête du bon Cochon ce dimanche.

Sous l'arbre centenaire se tenaient les plus âgés.

La rivière laissait entendre sa douce mélodie rafraichissante.

Les enfants jouaient dans la prairie.

Les poètes trouvaient ici les inspirations de leur muse.

Les familles se retrouvaient en ce jour de fête communale.

Les plus rapides prenaient la meilleure place et les

retardataires s'en trouvaient lésés, se jurant la prochaine

fois d'arriver les premiers comme toujours..

La fête battait son plein mais trainait et les plats n'arrivaient pas.


Mais que se passait il donc ? Les rumeurs allaient bon train.

Chacun sachant mieux que l'autre ce qui se passait !

La réalité était tout autre maintenant !


On venait de savoir de source sure que les cochons s'étaient fait  la malle 

avant même de passer à la casserole !

Non d'un cochon qui s'en dédie !

Ils n'allaient pas être les dindons de la farce quand même !


Homonymes no 1 chez Nanou

 



Jeu de Mots homonymes chez Nanou et
* acrostiche*
Le mot est PORTABLE
Il me fait penser à,
Touche, écran, mobile, application, joindre, papoter, textoter.

Mon texte avec mes mots .

Voilà que nous sommes sur le banc de TOUCHE !
La chaleur est là et bien installée !
Résultat; " Blocage à la maison "

Rideaux thermiques aux fenêtres, clim MOBILE en marche.
Loisirs ? Mon PORTABLE, mon pc.
Visite sur mes APPLICATIONS !
JOINDRE les copines et les copains.
PAPOTER avec les copines des blogs.
TEXTOTER souvent pour prendre des nouvelles
et se donner les derniers tuyaux au goût du jour !
Le PORTABLE est bien utile et mon pc tout autant lors des fortes chaleurs d'été.

N'est - ce pas les copines ?

Mon Acrostiche PORTABLE


Mon texte avec les homonymes,
porc, pore, port(Porter), port(bateaux)

Le pauvre porc suait toutes ses peurs par tous les pores de sa peau !
C'est aujourd'hui qu'on lui fait sa fête !
Il est arrivé au port cette nuit, aux aurores !
Le port en a été difficile vu son poids, faut dire qu'il a été bien nourri !
Le pauvre porc va passer à la postérité car dans tout le village,
on va apprécier sa chair et loué ses qualités !!
N'est pas pas bon porc qui veut !




03 août 2024

Le petit jeu de Cricket pour Août


Ton (tonalité) ton (le tien) de bon ton, thon.
   Acrostiche Pont

Un thon ou des Sardines ?

Avec son ton de crécelle, elle anime nos nuits de l'été !
Notre chère voisine du rez de jardin à une voix qui porte au delà du pont du Paillon.
 Nous avions pensé les voisines et moi, que lui en faire part serait de bon ton d'abord, 
d'engager un dialogue amiable avant de ''Je ne sais quoi de plus fort ''
Une nuit, 3 heures du matin, elle fait griller des sardines sur son barbecue !
Pourquoi pas des thons pendant qu'elle y est !

Nous sommes allé la trouver pour lui expliquer que l'odeur nous a réveillé les narines !
Bien mal nous en pris !

"" Je paye mon loyer je fais ce que veux, ton sommeil c'est pas mon problème ''''
Voila sa réponse !

Pas possible de discuter avec une personne qui n'est pas dans son état normal.
Nous avons donc fait une lettre au bailleur et nous attendons !
Mais depuis elle ne fait plus griller des sardines mais des harengs !

*************


01 août 2024

Atelier 85 chez An,Mai

 


Atelier no 85 chez An' Mai

Rire, emprunter, bouleversé, commun, contrôler, ancêtres, 

malgré, influence, recherches, compagnie

.............

Climatiquement vôtre.


Si nous avions fait perdurer la façon de vivre de nos ancêtres,

peut être que notre climat ne serait pas autant bouleversé !

Malgré tout nous avons subi l'influence du progrès, 

tout est tellement plus facile avec les nouvelles technologies.

C'est devenu si commun qu'une simple recherche avec un mot nous donne les indications !

Un clavier, une connexion et voilà que je contrôle mon texte qui s'affiche sur mon bloc note.

Je n'ai plus qu'à faire un copier coller et le déposer dans mon blog 

pour participer à l'atelier de An'Mai et compagnie.

J'emprunte donc moi aussi le chemin de la facilité mais bon 

je ne nuis pas au climat je pense de façon ostentatoire.

Allez je ris mais quand même je m'inquiète beaucoup pour ce climat 

qui change si rapidement et provoque beaucoup de phénomènes météorologiques.

Depuis quelques jours je vis avec cette chaleur jour et nuit… 

J'espère un peu de pluie pour un rafraichissement !

Je n'ai pas fait partie de celles ou ceux qui attendaient le soleil avec impatience !

 Ce serait plus le contraire pour moi, je vis très bien en automne et en hiver…


Bonne fin d'été à tous car je conçois que d'autres aiment la chaleur…


Atelier 242. Le tueur en série. chapitre 2.

 


Sujet 1.

Texte sur le thème ""pluie ""

Sujet 2.

Texte avec des mots finissants par  ""ore. orer. ores oret""

Sujet 3 Image parapluie.

....................

Chapitre 2. Chapitre 1. 

Ce mystère me hantait, et je décidai d'explorer les archives, cherchant des indices oubliés. Un matin, à l'aurore, je me rendis au vieux commissariat, désormais abandonné. La pluie battait les vitres brisées, ajoutant une atmosphère sinistre à ma quête. Tandis que je fouillais les dossiers poussiéreux, je découvris une série de lettres, cachées derrière une vieille armoire.

Ces lettres, écrites par Jack Chelou lui-même, dévoilaient une vérité encore plus troublante. Il avait collaboré avec un mystérieux individu, connu seulement sous le nom de "L'Ombre". Cet acolyte semblait avoir une influence profonde sur Jack, le poussant à commettre ses crimes et à amélioré son art macabre. Chaque meurtre était un message, non seulement pour la police et les médias, mais aussi pour cet étrange mentor.

Mais pourquoi se dénoncer ? La réponse se trouvait dans une dernière lettre, écrite peu avant son arrestation. Jack décrivait une relation de pouvoir qui s'était inversée. L'Ombre, jadis maître manipulateur, était devenu une menace pour Jack lui-même. Sentant sa propre vie en danger, Jack n'avait vu d'autre issue que de révéler ses crimes pour se protéger. 

Mais était ce vraiment les siens ?


Alors que je quittais le commissariat, la pluie continuait de tomber, mon parapluie me servit bien. Ce que j'avais découvert ne répondait pas à toutes mes questions, mais jetait une lumière nouvelle sur les événements passés. Jack Chelou n'était peut-être pas le seul monstre à rôder dans les ombres de ce village...



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